Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
25 septembre 2016 7 25 /09 /septembre /2016 05:56

Les durées de concessions d’autoroutes viennent d’être prolongées au profit de sociétés qui représentent de grands groupes multinationaux, moyennent quelques engagements de travaux et alors qu’elles se gavent de profits reversés sous forme de dividendes à leurs actionnaires.

Chacun sait que les concessions d’autoroute, depuis leurs privatisations, sont juteuses ! C’est évidemment les usagers, ces « toujours cochons de payants » qui trinquent ! Et qui vont être sollicités avec une augmentation provisoire, de 0,3 à 0,4%. Les collectivités territoriales, qui sont elles-mêmes pressurées, vont être sollicitées ! Lesquelles, bien sûr, se rattraperont sur les impôts locaux. Pour le CNAFAL, au bout du compte, ce sont les salariés qui vont voir leur pouvoir d’achat amputé ! D’autant que de plus en plus de Français et Françaises se déplacent quotidiennement pour aller au travail ! Il n’y a qu’à voir le fourmillement des aires de co-voiturage aux abords des autoroutes. Dorénavant, un français sur deux se déplace en voiture pour aller au travail. Un gros tiers des travailleurs français subissent des trajets d’environ une heure par jour ! Fatigue et racket des automobilistes, telle est la condition des salariés. La moyenne des kilomètres parcourus chaque jour pour aller au travail, est de 40 kms aller/retour. Ce qui est grave, c’est que la plupart des salariés qui sont de condition modeste, ou cadres moyens, sont captifs et dépendants du système (78% des ouvriers et 75% des professions intermédiaires utilisent leurs voitures).

Le coût moyen mensuel des transports par automobile, tout compris, est de 200 € ! Le CNAFAL, dans son rôle d’association de consommateurs et d’association de défense de toutes les familles, demande le blocage des tarifs d’autoroute et le retour dans le service public. C’est un problème de justice sociale.

Partager cet article
Repost0
22 septembre 2016 4 22 /09 /septembre /2016 22:42

L’an passé un plan de relance autoroutier a été signé.

Les sociétés autoroutières ont financé ce plan à la hauteur de 3 milliards d’euros.

On attend d’ailleurs le bilan.

Alors que Vinci a reversé depuis 2005 plus de 9 milliards de dividendes à ses actionnaires, avec un taux de rendement de 9%, le gouvernement veut faire financer son nouveau plan par les particuliers et les collectivités territoriales.

Les particuliers subiraient des hausses, provisoirement limitées de 0,3 à 0, 4 %

Les collectivités territoriales touchées par la baisse des dotations de l’Etat devraient trouver des fonds….. en augmentant les impôts des ménages, par exemple.

Ce sont encore les familles qui sont touchées par cette décision discutable du gouvernement.

Merci à Nagy pour son dessin

Partager cet article
Repost0
21 septembre 2016 3 21 /09 /septembre /2016 22:23
LE RENDEZ VOUS DES DROITS

Nabum a raison de dénoncer l’accueil téléphonique de la CAF avec ce numéro taxé à 6 centimes.

http://www.familles-laiques-de-vaux-le-penil.fr/2016/09/a-la-caf-le-service-n-est-pas-pour-les-allocataires.html

Ce système organisé dans les CAF est inacceptable.

Tout locataire devrait pouvoir joindre la caisse par téléphone sans payer une communication téléphonique ;

C’est d’abord une question de principe pour un service public.

Et ensuite une question d’égalité et de justice sociale : des demandeurs ont des problèmes financiers et ces communications à 6 centimes la minute ont un coût parfois peu négligeable.

Des allocataires viennent à notre permanence à Vaux le Pénil pour accéder à leur compte CAF par internet.

Ce service gratuit est possible, suite à un appel à projet et à une subvention de la CAF 77 qui nous a permis de nous équiper.

Nos secrétaires sont formées pour accompagner les allocataires et le service est ouvert à tous et gratuit.

Lorsqu’un allocataire rencontre des difficultés, il peut solliciter un rendez-vous des droits.

Il sera accueilli et reçu par un technicien conseil.

L’expérience montre que cet accueil est opérant.

C’est une démarche initiée notamment par la CAF 77

Partager cet article
Repost0
18 septembre 2016 7 18 /09 /septembre /2016 22:02
Appel pour le colloque du 18 novembre 2016

Madame, Monsieur

Le CDAFAL (Conseil Départemental des associations familiales) et « Familles laïques de Vaux-le-Pénil » organisent en partenariat avec la CAF et la ville de Vaux-le-Pénil un colloque intitulé : « combattre la pauvreté ».

Cette initiative aura lieu vendredi 18 novembre de 17H30 à 20H30 à Vaux-le-Pénil à la ferme des jeux.

Vous trouverez ci-dessous, l’appel au colloque et le questionnaire qui doit nous permettre de mieux connaître la situation sur l’agglomération de Melun Val de Seine.

Si vous souhaitez soutenir le colloque, y prendre la parole ou y apporter une contribution, vous serez les bienvenus, que vous soyez des décideurs, des représentants institutionnels ou des responsables associatifs.

Bien cordialement

Jean-François Chalot

Coordonnateur du colloque

QUESTIONNAIRE PREPARATOIRE AU COLLOQUE DES FAMILLES LAIQUES

« La pauvreté sur le territoire de Melun Val de Seine

Quelles réalités ? Quelles réponses apporter ? »

L’association Familles Laïques de Vaux le Pénil s’est engagée depuis plusieurs années auprès des personnes et des familles en situation de pauvreté à la fois pour soutenir l’élaboration et le suivi des dossiers d’aide et à la fois pour orienter ces personnes vers les interlocuteurs les mieux placés pour accompagner les différentes situations de fragilité sociale concernées.

Par ailleurs, dans la continuité de ce qui a déjà été construit depuis 2014 sur le territoire de la Communauté d’Agglomération de Melun Val de Seine autour d’un « réseau local de solidarités », un objectif complémentaire est d’améliorer la coopération entre Organismes à partir d’une meilleure compréhension des interventions respectives autour de ces situations de pauvreté.

Dans cette optique, Familles Laïques organise un colloque le Vendredi 18 Novembre 2016 sur cette thématique de la pauvreté et avec les spécificités territoriales qu’une étude préalable permettra d’identifier.

Afin de nous aider à préparer ce colloque, nous remercions de bien vouloir répondre aux quelques questions ci-dessous. Sinon, si vous le souhaitez, vous pouvez simplement nous faire parvenir votre dernier rapport d’activité où se trouvent probablement les informations correspondantes à ces questions.

1/ A combien estimez-vous le nombre de personnes accompagnées chaque année par votre Organisme ?

2/ Estimez-vous que ce nombre est en augmentation ?

3/ A combien estimez-vous le nombre de personnes revenant régulièrement dans votre Organisme ?

4/ Quelles sont vos principales actions en direction des personnes que vous accompagnez

5/ Quelles sont les principales difficultés que vous rencontrez pour mettre en œuvre ces actions ?

Partager cet article
Repost0
15 septembre 2016 4 15 /09 /septembre /2016 22:32
La rentrée des Familles Laïques de Vaux-le-Pénil
La rentrée des Familles Laïques de Vaux-le-Pénil

Toutes les activités reprennent progressivement.

La relaxation, c'est demain et les inscriptions sont ouvertes.

La couture , c'est le mercredi....Il reste quelques places

Pour toutes les activités, venez vous renseigner auprès des secrétaires.

Comme d'habitude , les trois premières semaines de septembre ont été consacrées aux rencontres entre les bénévoles et les inscriptions.

Si vous n'êtes pas encore inscrit (e), venez nous voir au local !

Partager cet article
Repost0
14 septembre 2016 3 14 /09 /septembre /2016 22:11
UNE RAISON D'AGIR : COMBATTRE LA PAUVRETE

Depuis le 1er janvier 2016, la Communauté d'Agglomération Melun Val de Seine compte 16 communes pour près de 125 000 habitants.

Plusieurs de ces communes, notamment Melun, Le Mée et Dammarie les Lys possèdent des grands ensembles et des logements sociaux en nombre gérés par plusieurs bailleurs sociaux.

A Vaux le Pénil, ville de 11 000 habitants, « familles laïques » qui est la seule association familiale sur la commune, regroupe à ce jour près d’un demi millier d’adhérents.

En 2014, le CDAFAL 77 a décidé de renforcer sa présence sur Melun, de donner plus de corps à l’association familiale laïque existante et de s’implanter dans les quartiers populaires.

Les élections des représentants des locataires à l’office départemental de l’habitat 77 étant une échéance importante, le CDAFAL a préparé une liste.

Nous avons choisi de présenter une liste du DAL (droit au logement) soutenue explicitement par le CDAFAL.

Sans faire une campagne tonitruante, la liste présentée a obtenu la deuxième place devant la CNL et la CSF.

Fort de notre représentativité et de notre siège au Conseil d’Administration de l’Office, nous avons décidé de « transformer l’essai » en assurant une présence permanente sur les cités.

L’Office mettant à la disposition de chaque association représentée au CA un local, l’AFL a mis en place avec le DAL une permanence commune tous les mardis après - midi.

De plus en plus de personnes sollicitent une aide pour obtenir un logement, pour que leur famille ne soit pas expulsée ou pour que des travaux soient effectués.

L’instruction du dossier est faite dans les meilleurs délais et nous interpelons le bailleur concerné.

Une association doit utiliser les média pour se faire connaître et surtout pour mettre à nue des situations.

Les journaux locaux, friands d’informations-choc répondent alors , ce qui accroit notre crédibilité auprès des familles et des bailleurs qui commencent à nous « craindre »

Depuis décembre le CDAFAL 77 siège à la CCAPEX 77

Les Commissions départementales de coordination des actions de prévention des expulsions locatives sont les instances destinées à coordonner et piloter la stratégie de prévention des expulsions.

En Seine et Marne cette commission joue bien son rôle en recevant et écoutant les familles.

Beaucoup de situations sont rétablies et des familles repartent avec des pistes leur permettant de rester dans leur logement ou d’en trouver un autre.

En 2016, le CDAFAL 77 regroupe 750 familles dans ses quatre associations intervenant dans l’agglomération de Melun Val de Seine et constitue la première association familiale et de loin sur ce secteur géographique.

Cette situation plutôt favorable ne nous conduit pas à l’auto-satisfaction….

Il y a tant à faire sur ce département : n’oublions pas que les associations familiales laïques hors agglomération ne regroupent que 150 familles adhérentes !

Sur l’agglomération de Sénart et ses huit communes nous avons créé une nouvelle association.

Nous n’en sommes qu’aux premiers balbutiements dans une agglomération qui regroupe plus de 100 000 habitants et qui aujourd’hui appartient au « Grand Paris Sud » avec des villes du département et de l’Essonne.

Depuis plusieurs années, par choix, le CDAFAL agit sur le département et surtout sur l’agglomération en réseau local de solidarité.

Ce réseau regroupe l’association familiale protestante qui intervient surtout auprès des Roms, la CSF, le Secours populaire, le DAL, le collectif indo-dettes, le Sentier ( intervention auprès des SDF) et la LDH.

Le colloque annuel du CDAFAL 77 et de familles laïques de Vaux-le-Pénil portera cette année sur la lutte contre la pauvreté.

Le 18 novembre, nous comptons pouvoir élargir encore un peu plus ce réseau local de solidarité et avancer sur notre projet de mise en place d’une complémentarité entre les associations et les institutionnels, chacun restant dans son champ mais œuvrant ensemble pour le bien des familles.

Nous le faisons d’ailleurs depuis deux ans avec le repas à un € qui a été organisé à Vaux le Pénil et qui s’étend avec des financements d’Etat sur Melun.

Partager cet article
Repost0
13 septembre 2016 2 13 /09 /septembre /2016 22:23

Emmanuelle Cosse, ministre du Logement et de l’Habitat durable a annoncé au mois de mai le maintien des allocations logement aux locataires de bonne foi en cas d’impayés de loyers.

C’est une réponse aux demandes formulées par la CNL, le CNAFAL, le DAL et d’autres organisations.

Il sera beaucoup plus facile aux familles de rentrer dans le cadre d’un plan d’apurement négocié avec le bailleur avec le versement non interrompu des allocations logement.

Cette proposition qui découle de la loi ALUR a donné lieu à un décret ministériel.

Le décret du 6 juin 2016 est long, assez complexe et il faut du temps pour saisir les différents cas de figure et les modalités précises.

Ah si un jour les décideurs et les fonctionnaires pouvaient écrire dans un français simple et accessible !

Ce site établit une synthèse claire

https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F32037

« Lorsque l'allocation est versée au bailleur, on considère qu'il y a impayés de loyer lorsque le locataire est débiteur d'une somme au moins égale à 2 fois le montant mensuel net du loyer hors charges. Le montant mensuel net du loyer hors charges correspond à ce même loyer, déduction faite du montant de l'aide au logement.

Lorsque l'allocation est versée à l'allocataire, on considère qu'il y a impayés de loyer lorsque le locataire est débiteur d'une somme au moins égale à 2 fois le montant mensuel brut du loyer hors charges. Le montant mensuel brut du loyer hors charges correspond au loyer hors charges figurant dans le bail.

Le bailleur doit signaler l'impayé de loyer à l'organisme payeur (Caf ou MSA) dans les 2 mois de sa constitution, sauf si la somme due a été réglée entre-temps en totalité. Cette information doit lui parvenir de préférence par courrier recommandé avec avis de réception. »

À savoir :

si le bailleur ne signale pas l'impayé de loyer, l'organisme payeur peut prononcer une pénalité d'un montant maximal de 6 436,00 €.

Une fois que le bailleur a signalé l'impayé, l'organisme payeur :

Lorsque l'allocataire perçoit directement l'aide au logement, l'organisme payeur propose au bailleur d'obtenir le versement en tiers-payant (à la place de l'allocataire). Le bailleur a 2 mois pour répondre ; au-delà, son silence vaut refus. »

Un arrêté précise les conditions requises pour la mise en œuvre de cette procédure

Arrêté du 5.8.16 : JO du 12.8.16

L’obligation faite aux bailleurs personnes morales de prévenir la CCAPEX (Commission de coordination des actions de prévention des expulsions locatives) constitue une avancée :

l’information de la CCAPEX est le point de départ du délai de deux mois préalable à l’assignation pour les personnes morales.

Cela permet à la CCAPEX et aux différents partenaires de chercher avec la famille et le bailleur une solution empêchant l’expulsion locative

RAPPELONS QU’UNE EXPULSION LOCATIVE CONSTITUE UN DRAME FAMILIAL ET UN COUT FINANCIER IMPORTANT POUR LES POUVOIRS PUBLICS

Des points d’ombre subsistent et notamment celui-ci :

Lorsqu’ un dossier de surendettement est jugé recevable par la Banque de France, les voies d’expulsion locative sont arrêtées, elles sont suspendues durant 2 ans si le juge valide le plan de surendettement.

Les allocations logement sont alors reversées au bailleur ou bien au locataire…

.En principe sauf si le bail a été résilié par le bailleur. !

En effet, la CAF ne peut verser l’APL que s’il y a un bail. !

C’est ubuesque.

Il est vrai qu’une association qui défend un locataire se trouvant devant un blocage décidé par un bailleur remuera « terre et ciel » et arrivera à faire céder le bailleur….Mais que de temps perdu

Partager cet article
Repost0
12 septembre 2016 1 12 /09 /septembre /2016 22:06
Le 11 septembre à Vaux le Pénil

Le forum des associations est un moment de rencontres entre la population et les associations locales.

Beaucoup de familles attendent le forum pour inscrire les enfants à telle activité.

Des adultes trouvent une activité à pratiquer.

En 2016, la Buissonnière a connu une affluence très importante.

De nombreuses associations proposent des journées portes ouvertes pour que petits et grands viennent voir comment cela se passe.

Le Yoga, la danse, la chorale…. Beaucoup d’autres associations pratiquent ainsi.

Le Comité des fêtes a préparé des plateaux repas de qualité….

C’était une vraie petite usine en activité, ils étaient nombreux à la restauration ces bénévoles qui sont très souvent « aux fourneaux ».

Ce qui étonne aussi c’est que malgré la chaleur et le nombre de personnes en attente, ils restent souriants et disponibles.

Lorsque le CDF a fait le tour des stands pour servir gracieusement de l’eau fraîche, « ce fut un ravissement » .

Ouf ! merci ! quelle bonne idée !

L’association « Familles laïques » - merci Loïc pour la photo- a reçu beaucoup de visites.

Telle personne a pris une ré-adhésion familiale, telle autre s’est inscrite pour la première fois et de nouveaux bénévoles se sont fait connaître.

Une antenne pénivauxoise de l’association française contre la mucoviscidose va s’installer à Vaux le Pénil.

Elle tiendra des permanences régulières et notre association est prête à l’accueillir et à mettre à sa disposition le téléphone, l’ordinateur et le copieur.

Cette association a plusieurs projets comme celui consistant à monter un spectacle.

Des partenariats pourront se construire avec d’autres associations locales.

De plus en plus de personnes rejoignent les associations, à Vaux-le-Pénil ce sont plus de 6000 personnes de tous les âges qui adhèrent à une association, certaines sont multicartes.

Il est vrai que plusieurs associations comme la nôtre ne veulent pas concurrencer d’autres….C’est ainsi qu’un adhérent de Familles laïques peut être à Loisirs création, au Yoga à LSR , à USV Danses, au Comité de Jumelage ou/et au Comité des fêtes …..

BONNE RENTREE A TOUTES ET A TOUS !

Partager cet article
Repost0
11 septembre 2016 7 11 /09 /septembre /2016 04:33

 

Aujourd'hui une famille syrienne est accueillie à Vaux-le-Pénil, nous lui souhaitons la bienvenue et pensons à toutes ces familles et notamment ces enfants victimes des guerres et conflits actuels.

Partager cet article
Repost0
10 septembre 2016 6 10 /09 /septembre /2016 06:15
L'INTERDIT ASSOCIATIF DES SURENDETTES  MEME PAS UNE INTERPRETATION DE LA LOI, UNE IGNORANCE !

L'exercice de la citoyenneté doit être plein et entier pour tout le monde, y compris pour des personnes qui connaissant des difficultés peuvent se retrouver surendettées.

Des banques n'hésitent pas à refuser l'ouverture d'un compte à une personne pauvre, il faut alors que « l'intéressé » s'adresse à la Banque de France pour que celle-ci lui trouve un établissement bancaire.....

Il arrive aussi que des banques interprètent ou inventent une loi interdisant à un surendetté de signer les chèques d'une association dont il a reçu une délégation...et ceci en toute illégalité !?

Une personne en difficulté qui est accompagnée par une association peut exprimer l'envie de s'engager.....

Ce choix personnel ravit les responsables associatifs qui constatent que la démarche d'éducation populaire est un succès :

la personne qui demande une aide devient actrice, c'est à dire qu'elle prend en main son dossier avec une aide et peut à son tour accompagner une autre famille en difficulté.

Parfois cette personne, très motivée et ayant acquis des compétences sollicite des responsabilités.

C'est alors « la cerise sur le gâteau ».

Malheureusement cette responsabilisation peut rencontrer des freins « bureaucratiques » .

Voici ce qui vient d'arriver à un bénévole sur l’agglomération de Melun Val de Seine.

Elle a déposé un dossier de surendettement à la Banque de France et, son dossier étant jugé recevable, elle a commencé à respecter le plan proposé par la commission et validé par le Juge .

Acceptant d'assurer la trésorerie d'une association locale, elle est allée rencontrer la banque « populaire » où le compte associatif est domicilié.

« Madame, ayant déposé un dossier de surendettement et étant fiché au FICP vous ne pouvez pas signer de chèque associatif »

Les bras nous en sont tombés pour deux raisons :

La première c'est que quelqu'un qui est FICP ( Fichier des incidents de remboursement de Crédit aux Particuliers) n'est pas interdit bancaire :

La deuxième c'est de constater que la Banque semble ignorer que le trésorier, comme le président n'est qu'un mandataire de la personne morale. Il agit pour le compte de l'association que par un mécanisme juridique de représentation conventionnelle.

Ni le trésorier, ni même le président n'est considéré comme titulaire du compte qui fonctionne pour la personne morale.

Faut-il rappeler, ce que je ferai, à la banque que même l'interdiction bancaire, qui n'est d'ailleurs pas la situation de cette personne est une sanction personnelle qui ne s'applique pas au compte dont elle peut être le mandataire ?

Voici là un blocage malheureux et stupide....

La loi n'est pas respectée et en plus cette banque populaire risque de perdre un ou plusieurs clients et de voir sa réputation entachée !

LU DANS LA PRESSE UN ARTICLE DU PARISIEN

http://www.leparisien.fr/vaux-le-penil-77000/vaux-le-penil-jean-francois-chalot-raconte-sa-vie-de-militant-associatif-09-09-2016-6107147.php

Partager cet article
Repost0

  • familles-laiques-de-vaux-le-penil.over-blog.com
  • C'est une association familiale laïque qui lie le combat social et le combat laïque
Son projet associatif s'inscrit dans le PAL ( prestation d'animation locale) et le PAL Vaux le Pénil est adhérent à la Fédération des Centres Sociaux 77
  • C'est une association familiale laïque qui lie le combat social et le combat laïque Son projet associatif s'inscrit dans le PAL ( prestation d'animation locale) et le PAL Vaux le Pénil est adhérent à la Fédération des Centres Sociaux 77

AGENDA

 

PROCHAINES PERMANENCES

"INFO-DETTES"

  à VAUX LE PÉNIL

 

 Vendredi 12 Septembre 2025

 Vendredi 10 Octobre 2025

sur rendez-vous au 

09 75 38 81 13 

   

    

 

Qui sommes nous ?

Association fondée sur le principe de la laïcité,

intervenant dans tous les domaines

 où l'intérêt des familles est concerné.

     logo rose afl

Animée uniquement par des bénévoles, l'association propose différentes actions telles que : Accompagnement scolaire, alphabétisation, info dettes, écoute et soutien des familles, écrivains publics, informatique, échanges de savoir-faire. 

 

Surtout n'hésitez pas à nous laisser des commentaires en utilisant le lien en dessous de chaque article De même, lisez les commentaires, ils vous en inspireront peut-être d'autres Notre EVS est subventionné par la Caisse d'Allocations Familiales 77 et le Conseil Régional d'Ile de France