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29 juin 2017 4 29 /06 /juin /2017 14:31

L'équipe de bénévoles de Familles Laïques, avec ses partenaires habituels, a une fois de plus offert à des personnes l'occasion de passer un agréable moment de convivialité autour de tables bien garnies.

Nous étions cette fois-ci près d'une quarantaine

C'était ce mercredi 28 juin 2017

Cette fois-ci, grâce au Comité des Fêtes de Vaux le Pénil qui a prêté ses locaux et son matériel, ce n'est pas au 4 de la Place Beuve et Gantier que c'est déroulé ce repas, mais à la Ferme des Jeux : un barbecue avec une belle et bonne entrée toute de fraicheur, un assortiment de viandes et saucisses à griller, salade et fromage et en dessert des cônes glacés.

Cette opération a pu se faire aussi grâce à l'aide de la ville qui nous a mis à disposition, tables et chaises.

Nous avons dû "jouer des coudes" avec les averses, mais au final tout c'est très bien passé.

Outre les bénévoles habituels, Marie-Noëlle, Françoise, Dominique, Patrice (Bénilde fidèle parmi les fidèles absente ce jour là), merci aux aides précieuses de Luc, Eric, Martine, Guillaume, Jacques, Alain, qui sont venus renforcer l'équipe et ont participé soit à l'installation soit au rangement, mais aussi à "la cuisine"

Quelques photos pour illustrer ce moment qui a réuni des personnes d'horizons divers.

Occasion de rappeler que c'est repas sont à 1 € minimum par personne, chacun donnant ce qu'il veut, ce qu'il peut car il ne s'agit pas uniquement d'offrir aux plus démunis, mais aussi de se faire rencontrer des personnes, de rompre des solitudes.

Rendez-vous donc à la rentrée, dès le mercredi 14 septembre 2017 où le rythme d'un repas tous les quinze jours reprendra.

Patrice THEVENY

Repas Solidaire : le dernier avant l'été et la rentrée de septembre
Repas Solidaire : le dernier avant l'été et la rentrée de septembre
Repas Solidaire : le dernier avant l'été et la rentrée de septembre
Repas Solidaire : le dernier avant l'été et la rentrée de septembre
Repas Solidaire : le dernier avant l'été et la rentrée de septembre
Repas Solidaire : le dernier avant l'été et la rentrée de septembre
Repas Solidaire : le dernier avant l'été et la rentrée de septembre
Repas Solidaire : le dernier avant l'été et la rentrée de septembre
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Repas Solidaire : le dernier avant l'été et la rentrée de septembre
Repas Solidaire : le dernier avant l'été et la rentrée de septembre
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20 juin 2017 2 20 /06 /juin /2017 05:47
Les associations font la Fête.... de la Musique !
 
Nous vous attendons le mercredi 21 juin
 
Musiciens et chanteurs vous donnent rendez-vous
 
à 18h en centre ville - Ecole Beuve et Gantier (rue des Carrouges)
 
et au centre commercial du Moustier.
 
A partir de 19h, la fête se poursuit à la Ferme des Jeux avec la participation du Conservatoire municipal.
 
Nous retrouverons également l'association du Comité des Fêtes qui tiendra buvette.
 
Je vous souhaite à tous une bonne journée et à bientôt.
 
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18 juin 2017 7 18 /06 /juin /2017 06:43
CHANTE LA VIE LE DIMANCHE 18 JUIN A VAUX LE PENIL AVEC LA CHORALE CHANTERELLE

Dimanche 18 juin à 16h30 - La Chorale Chanterelle “Chante la vie“ Église St Pierre St Paul - 1ère partie : airs de Gounod, Bizet, Saint Saëns, Offenbach... 2ème partie : reprise de chansons de Michel Fugain.

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9 juin 2017 5 09 /06 /juin /2017 09:11

Des membres de la "commission Linky" du CNAFAL, ont participé à la rencontre de l'ANSES, et ont pu améliorer leurs connaissances sur l’exposition du vivant aux ondes électromagnétiques. Ils retracent les grandes lignes des 14 présentations qui se sont succédées à un rythme soutenu. Environ 250 personnes ont participé à cette journée, venant du monde scientifique, médical, technique et associatif.

 

 

Roger GENET, directeur général de l’ANSES a ouvert le colloque signalant que d’ici 2020 plus de 2 milliards d’objets connectés devraient être en service en France, ce qui pose de légitimes interrogations sanitaires. L’ANSES qui accorde beaucoup d’importance à cette question  a financé 45 projets de recherche depuis 2011 dans le cadre du programme national de recherche environnement-santé-travail (PNREST) pour un montant total de 9,1 M€. Ce programme dans lequel interviennent des équipes d’horizons variés, en partie étrangères, est financé par une taxe sur les objets connectés non filaires, directement reversée à l’ANSES, mode de financement sensé garantir l’indépendance de l’agence[1].

Les 14 études sont reprises ci-dessous  dans l’ordre de leur présentation. Les titres en gras ci-dessous reprennent textuellement  les dénominations des recherches évoquées. Plusieurs études couvrent des champs d’investigation très proches mais chacune vise un objectif différent. Les passages en italique sont des citations tirées du dossier remis aux participants.

Analyse et caractérisation de l’exposition des très jeunes enfants.

L’objectif de cette étude est de déterminer un modèle pour caractériser les doses d’exposition subies par les très jeunes enfants qui ne peuvent être considérés comme des adultes en miniature du fait de leur morphologie particulière et de l’impact des ondes sur leur développement. Ces enfants ne sont pas utilisateurs des technologies mais sont néanmoins irradiés par les téléphones et tablettes de leurs parents ainsi que par les réseaux non filaires du domicile (wifi, bluetooth, babiphones, …). Leur irradiation est en outre fortement influencée par leur position par rapport au téléphone ou la tablette.

Le travail de l’équipe a abouti à mettre au point un modèle numérique spécifique pour cette tranche d’âge, prenant en compte des divers paramètres, disponible pour les chercheurs ainsi que les organismes chargés de fixer les normes et de veiller à leur application.

MOBI-EXPO : « caractérisation de l’utilisation du téléphone portable chez l’enfant, l’adolescent et le jeune adulte dans le cadre d’une étude épidémiologique multicentrique ».

Cette recherche internationale (12 pays répartis sur plusieurs continents) est le préalable d’une étude épidémiologique de grande ampleur. A ce stade il s’agissait de bien connaître les habitudes d’usage de différentes tranches d’âge et de déterminer des correctifs mathématiques à apporter aux collectes d’informations déclaratives quand à l’usage de la téléphonie mobile et des applications associées, compte tenu de ce que l’on appelle le « biais de mémorisation » en croisant les informations obtenues par les questionnaires avec celles fournies par une application spécifique installée sur les smartphones mis à disposition pour la période de test.

Le modèle mathématique qui a été validé apporte « de précieux éclairages sur la conception, l’analyse et l’interprétation de futures  études épidémiologiques » ainsi que la mise au point « de stratégies de réduction de l’exposition aux radiofréquences ».

Réponses physiologiques d’adaptation ou d’évitement du rat juvénile exposé aux ondes radiofréquences type antenne relai.

Il s’est agi de vérifier si des rats de laboratoire sont sensibles aux ondes en leur permettant de passer d’une cage exposée à une cage non exposée. Il est apparu qu’à température normale durant leur période d’activité, les rats ne sont pas perturbés par le champ électromagnétique (CEM), mais que pour leur période de repos ils choisissent la cage non exposée. Lorsque la température  augmente des perturbations apparaissent également durant la période d’activité. Tout ceci accrédite l’idée qu’ « il pourrait y avoir un lien entre ce type d’exposition et les symptômes et désagréments ressentis par les personnes qui se disent atteintes d’EHS, même pour des niveaux d’intensité très faibles ».

Technologies de communication, environnement et tumeurs cérébrales chez les jeunes.

Cette étude internationale (14 pays) compare l’exposition aux ondes d’une population significative de jeunes (10 à 24 ans) opérés pour des tumeurs cérébrales avec celle d’un groupe témoin équivalent opéré pour appendicite à partir du recueil des informations de chaque individu quant son usage de la téléphonie mobile avec prise en compte du biais de mémorisation. L’analyse des données est en cours. « Au vu de la forte utilisation de téléphone chez les jeunes, les résultats de cette étude sont très importants pour évaluer l’existence ou non d’une augmentation de risque d’une des tumeurs les plus fréquentes ».

Analyse de l’impact des ondes millimétriques sur la différentiation des cellules nerveuses.

A partir de 2020 devrait se déployer le réseau téléphonique 5G qui a recours aux ondes millimétriques (OMM), de 30 à 300 Ghz. L’impact sanitaire de ces fréquences n’étant pas connu, il était important de l’étudier avant la généralisation des OMM. La pénétration des  OMM dans  le corps humain s’arrêtant aux couches profondes de la peau, il fallait vérifier leur impact sur les cellules nerveuses périphériques. Les résultats de l’étude in vitro ne montrent pas d’effet délétère sur des expositions de courte durée (24h), mais « ne présagent en rien de l’innocuité de ces ondes en ce qui concerne les effets à long terme ou les effets sur l’activité électrique des neurones ».

Caractérisation des expositions induites par les futurs systèmes de transfert d’énergie sans fil.

Peu connue du grand public, cette technologie émergente permet  de recharger des batteries et d’alimenter des appareils électriques sans fil, sur de courtes distances, par ondes pulsées. Pour l’instant les puissances se limitent à quelques centaines de watts mais elles sont appelées à croître dans un proche avenir. L’étude en cours cherche à vérifier les effets que peuvent avoir ces importants transferts  d’énergie sur un corps humain placé entre l’émetteur du rayonnement (branché sur le réseau électrique) et le récepteur (l’appareil ainsi alimenté) dans la gamme des 10Mhz. Les premiers résultats indiquent que « dans certains scénarios d’exposition, la limite en termes de densité de courant peut être atteinte plus rapidement que celui en DAS », en d’autres termes que l’irradiation peut être assez conséquente.

Etude en temps réel des effets cellulaires globaux des radiofréquences.

Les effets biologiques des radiofréquences sont encore mal connus au niveau cellulaire. Toute la difficulté reposait dans l’absence d’appareillage expérimental ad hoc. L’équipe chargée de ce projet a réussi à mettre au point un système permettant d’étudier les variations métaboliques de cellules en culture soumises à des champs électromagnétiques. Pour l’instant l’expérimentation n’a porté que sur des cellules très spécifiques (kératinocytes et neuroblastes humains) mais la poursuite du programme portant sur des cellules primaires devrait permettre de contribuer « de manière solide à l’évaluation du risque sanitaire présenté par l’exposition aux champs radiofréquences ».

Développement d’un scanner de débit d’absorption spécifique à haute résolution basé sur un capteur électro-optique.

La mesure de la dose de rayonnement radiofréquence reçue par une personne (DAS) se fait à l’aide de capteurs spécifiques pour chaque gamme de fréquences, dont les sondes métalliques influencent la mesure. Une équipe a mis au point une sonde optique capable de couvrir une très large bande de fréquences, permettant une mesure en 3D et ne perturbant pas la mesure car n’étant pas métallique. Les mesures de DAS en seront facilitées, gagneront en précision et pourront s’appliquer à des domaines nouveaux. L’ambition finale du projet est d’ « établir l’art dans la métrologie du champ électrique pour l’évaluation du taux d’exposition radiofréquence »

L’étude Cosmos, une cohorte prospective européenne sur la téléphonie mobile et la santé

Faisant suite à de précédentes études contestées pour des biais méthodologiques, Cosmos porte sur les données de 290 000 adultes européens volontaires (plus de 310 000 à terme) répondant à des questionnaires sur leurs usages de téléphonie et autres objets communicants, données corrigées du biais de mémorisation. Un croisement de ces données avec celles de l’épidémiologie « permettra l’étude de risques éventuels de maladies chroniques (cancers, maladies cardiovasculaires, neurologiques, de symptômes spécifiques tels que acouphènes, maux de tête, troubles du sommeil, impact éventuels sur la reproduction) ». Le traitement des données se fera au niveau européen, mais également dans chaque pays participant. En France ce traitement  sera croisé avec l’étude épidémiologique « Constances ». « Grace à sa taille, à la diversité des pays d’étude et des événements de santé qui seront étudiés, Cosmos contribuera aux connaissances scientifiques et sanitaires sur les risques éventuels associés à l’usage intensif et à long terme de téléphones mobiles et à l’exposition aux radiofréquences ».

Représentation du risque et coproduction de savoirs experts et profanes dans la résolution des controverses liées aux radiofréquences en France et au Québec (RISQUE).

Cette étude se situe dans le champ sociocognitif et comporte 4 étapes : détermination des  représentations sociales du risque lié aux radiofréquences lors d’entretiens libres ; études de cas par l’intermédiaire d’entretiens semi-directifs ; recension systématiques des écrits ; établissement d’un cadre de référence sur une approche de dialogue. L’objectif est de mieux appréhender  les inquiétudes de la population pour « comprendre comment une communauté/collectivité peut planifier ses stratégies d’adaptation et de développement ».[2]

Caractérisation des effets d’un champ électromagnétique GSM sur des modèles de vulnérabilité cérébrale : développement, neuro-inflammation et hypersensibilité.

Cette recherche a porté sur des rates gestantes ainsi que des rats juvéniles exposés durant leur développement, conjointement aux radio-ondes et à des agents infectieux pour vérifier si l’exposition aux CEM affaiblissait leur organisme et modifiait leur comportement. Les résultats montrent que « chez le rat adulte, des comportements pourraient être modifiés de manière dose-dépendante par les CEM suite à une trace laissée par un événement inflammatoire au moment de la gestation ou de l’adolescence »  ainsi que l’ « existence d’interactions avec le tissu biologique et de possibles effets sanitaires pour des DAS cumulés élevés. » Débit d’Absorption Spécifique

Effets des ondes GSM 1800 Mhz sur les cellules microgliales et la neurotransmission dans un contexte neuroinflammatoire.

Proche de l’étude précédente celle-ci cherche à vérifier l’impact des radiofréquences sur un « cerveau affecté par un processus pathologique » en raison du constat que « de nombreux états neuropathologiques ont une composante neuro-inflammatoire associant des réactions morphologiques et fonctionnelles des cellules microgliales à des modifications de l’activité ou de l’intégrité des réseaux neuronaux ». Les résultats de cette étude portant sur l’analyse d’un certain nombre de marqueurs biologiques dans différentes conditions s’avèrent « statistiquement significatifs 24h après l’exposition des animaux ; ils ne le sont plus 72h après l’exposition ». Ils mettent nettement en évidence « la sensibilité ou la réponse de cellules cérébrales à des radiofréquences utilisées pour la téléphonie mobile peuvent être augmentées lors d’un épisode neuro-inflammatoire aigu. »

Effets biologiques de l’exposition aux radiofréquences des cellules neuronales. Projet MOTUS.

Il est connu que l’exposition à des ondes GSM (téléphonie 2G) entraine « une diminution significative de l’activité électrique des réseaux de neurones in vitro » et  de la « prolifération des cellules souches dans le cerveau du rat », contrairement  à celle à des ondes UMTS (3 G). Le projet Motus se fixe pour objectif de caractériser et comprendre cette différence de réaction cellulaire entre l’exposition aux ondes GSM et celle aux ondes entretenues (CW en anglais). La recherche s’est fixée 5 tâches successives dont pour l’instant 4 ont été abordées. Les premiers résultats « tendent à prouver la robustesse de l’effet d’inhibition de l’activité électrophysiologique sous exposition radiofréquences […] in vitro ». Les essais in vivo et l’immunochimie sont en cours et il est trop tôt pour se prononcer sur les différences de réactions des tissus cérébraux en fonction de la nature des ondes.

Analyse moléculaire et cellulaire des effets des radiofréquences sur les membranes des cellules.

Une étude antérieure avait montré « un effet des signaux GSM sur l’endocytose des cellules ». Le projet MARFEM a étudié « l’oxydation des lipides membranaires suite à l’exposition de membranes biologiques à des radiofréquences et à des impulsions électriques ».

Les résultats de l’étude montrent des effets avérés en matière d’oxydation et de peroxydation des lipides avec production de radicaux libres, différenciés selon l’intensité et la nature des rayonnements. « MARFEM a donc permis de mettre en évidence d’une part, des mécanismes moléculaires d’interaction des radiofréquences et d’autre part l’effet extrêmement limité des GSM »

En guise de conclusion personnelle.

Il est très difficile pour le profane, même initié de suivre les démarches des chercheurs dans les présentations de leurs études, mais il appartient au citoyen de se faire une opinion et de choisir dans quelle société il veut vivre. En essayant de prendre de la hauteur sur les travaux présentés, il ressort que l’exposition du vivant aux ondes électromagnétiques a des effets avérés, d’importance variable selon l’organisme, l’individu, la nature et l’intensité des ondes, sans que l’on sache encore bien décrire les mécanismes biologiques en jeu.

Il faut que la recherche continue à nous éclairer, mais dans le même temps il importe d’aller vers la modération électromagnétique en vertu du principe de précaution, du moins tant que l’innocuité des ondes sur la santé n’aura pas été démontrée.

François Vetter – Président du CDAFAL 70
[1] Sans toutefois garantir l’absence de conflits d’intérêt aux niveaux des équipes de recherche ou des personnes les menant
[2] L’étude se situe clairement dans le champ de l’optimisation de la communication

Un complément d’information intéressant, fait par François sur Linky et les ondes : Linky et la santé

 

 

 
 

Nicole Damon

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7 juin 2017 3 07 /06 /juin /2017 07:23

Congé maternel unique proposé par la secrétaire d’Etat, Marlène Schiappa : pour le CNAFAL une idée intéressante à suivre mais pas suffisante. Le CNAFAL est d’accord a priori sur le principe même si peu de détails ont filtré.

 

 

Cependant, le CNAFAL a eu l’occasion de dire le 30 mars dernier qu’il était en phase depuis 30 ans avec l’aspiration des jeunes générations à savoir :

La conciliation vie familiale/ vie professionnelle qui doit conduire à une exigence absolue d’égalité hommes/ femmes.

En effet selon l’étude BVA-DRESS parue en mars 2017, il ressort que :

–  les deux tiers des français estiment que les hommes doivent bénéficier d’aménagement du temps de travail, au même titre que les femmes. Massivement (92%), sont favorables à une meilleure allocation du congé parental, mieux rémunéré et indexé sur le salaire antérieur : la nouveauté, est que pour la première fois, chez les hommes (y compris cadres et professions libérales), le souhait majoritaire est d’allonger le congé paternité.

– les choix de politique familiale souhaités, vont à l’encontre de l’idéologie familialiste.

– 63% des français sont favorables à ce que soient accordées des allocations familiales dès le premier enfant ! 66% sont pour une égalité totale du montant du versement, quel que soit le rang de l’enfant ! (1er, 2ème, 3ème).

– 49% des français estiment que ce sont les familles à revenus modestes, qui doivent être aidées prioritairement, en particulier les familles monoparentales.

– un français sur deux est d’accord pour que les allocations familiales soient réservées aux familles, dont le revenu total mensuel est inférieur à 6000 €. Le CNAFAL a été favorable à l’abaissement du plafond du quotient familial : d’autres préféraient « hurler à la mort » de la politique familiale, parce que cela amputait  légèrement les revenus compris entre 70 000 et 100 000 € par an ! A méditer…

Le CNAFAL a toujours prôné une égalité de traitement. C’est l’impôt sur le revenu qui doit égaliser les écarts.

Dans le champ de la famille, le CNAFAL note favorablement que :

–  64% des français sont en désaccord avec l’idée que le mariage est le cadre idéal pour vivre une relation de couple… la laïcisation dans les relations au sein de la famille, longue marche entamée depuis la Révolution Française, est désormais acquise…

–  59% des français sont favorables à ce que les couples de femmes puissent recourir à la Procréation Médicalement Assistée (PMA), pour avoir un enfant.

–  62% des français pensent que les couples homosexuels, peuvent assurer un rôle de parents, aussi bien que les couples hétéros !

–  50% des français sont favorables à la GPA…

 
 

Nicole Damon

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26 mai 2017 5 26 /05 /mai /2017 07:09

Madame, Monsieur,

Vous pouvez vous rendre disponible quelques heures par mois.

Vous pouvez vous déplacer dans le périmètre de Melun et ses environs

Vous avez le goût de rendre service à des personnes ou des familles en difficultés.

Vous n’êtes pas rebutés par les formalités administratives.

Vous êtes prêt à recevoir une formation concernant la procédure de surendettement.

 

Si vous remplissez la plupart de ces conditions, vous avez le profil d’un membre de l’association « INFO-DETTES » et vous êtes le / la bienvenu(e) pour renforcer l’équipe en place qui termine sa dixième année d’activité.

Nous organisons une session de formation à la procédure de surendettement pendant la journée du jeudi 15 juin prochain. Nous échangerons nos expériences et nous accueillerons tous les nouveaux venus dans notre local situé au 5 square Blaise Pascal (77000 MELUN) de 9H00 à 16h00, avec un déjeuner pris ensemble pour matérialiser la convivialité de nos actions.

Si vous êtes d’accord pour vous associer à notre aventure, nous serions heureux de vous compter parmi nous le 15 juin. Il ne vous reste plus qu'à contacter notre secrétariat qui se trouve au:

04 place Beuve et Gantier

77000 VAUX LE PENIL

Tél : 09 75 38 81 13

Courriel : info-dettes@orange.fr

Dans l’attente du plaisir de vous rencontrer, l’équipe se joint à moi pour vous adresser nos vifs encouragements à nous rejoindre ainsi que nos meilleures salutations.

 

 

Daniel BIJARDEL

Coordinateur « INFO DETTES »

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25 mai 2017 4 25 /05 /mai /2017 08:03

 

Mon père devient dépendant.

C’est normal, me direz-vous : il doit être vieux, à son âge, il a du mal à arquer, il n’est plus aussi vif, ce genre de choses. Sauf qu’il est encore très autonome : il s’occupe de ses problèmes domestiques tout seul depuis pratiquement ma naissance, il continue à aller tous les matins prendre son petit café sur le port, il va voir ses copains, il gère ses affaires, il se débrouille toujours très bien tout seul. Certes, les jours de tempête, il évite de sortir de chez lui, le vent peut être violent sur le front de mer et, comme il me le disait assez récemment, quand il y a beaucoup de vent, j’ai tendance à perdre l’équilibre… comme nous tous. Certes, il entend un peu moins bien, mais il garde bon pied bon œil, et jusqu’à présent, c’était nettement suffisant.

Non, mon père va plutôt très bien pour ses 85 ans, c’est juste que l’emprise numérique sur notre société est en train de le marginaliser sans aucun ménagement.

De la simplification administrative à la désintégration des services

Soyons clairs : personne n’aime vraiment les démarches, la paperasse, les formulaires, les procédures et toutes ces petites contrariétés normées qui sont sécrétées par une société organique extrêmement structurée, hiérarchisée et régulée. En gros, on n’aime pas trop la loi de la jungle, mais on n’aime pas plus les contraintes qui permettent d’échapper à l’arbitraire et à la loi du plus fort.

D’ailleurs, se moquer de l’administration française est resté longtemps un sport national

Du coup, il a été assez facile de nous vendre l’efficience présupposée des entreprises privées plutôt que la lourdeur bureaucratique des services publics, avec l’idée qu’ensuite, ce serait plus rapide, plus efficace, moins cher et plus accessible. Puis, dans l’élan, de nous fourguer la dématérialisation des services, des démarches et même des relations comme simplificatrice de la vie quotidienne.

En fait, ce n’est pas compliqué, la numérisation de notre société, c’est le nouvel eldorado, le saint Graal et le mini Mir réunis.

Ce qui est grandement exagéré.

Déjà, basculer en mode informatique des démarches qui sont sous-tendues par une complexité juridique et règlementaire croissante, ne change que le support et ne résout pas la question même de la complexité. Certes, cela rend service à ceux qui maîtrisent relativement bien et l’outil informatique et le langage administratif, mais pour tous les autres, je suis assez dubitative sur le gain réel de productivité.

Mais le pire est à venir quand cette « simplification » de la démarche s’accompagne en réalité d’un objectif très concret de réduction des couts et donc des personnels chargés de gérer ses processus. Parce qu’aux deux bouts de la chaine numérique, il reste toujours des humains.
Et que tous ces humains — tant s’en faut — ne sont pas des familiers voire même vaguement à l’aise avec la chose informatique ou la chose administrative.
Et que du coup, au moindre petit grain de sable dans l’engrenage, c’est toute la machine qui se grippe, maintenant qu’elle n’est plus ointe du liant humain.

L’Homo numericus ne peut que croiser les doigts pour que tout se passe selon le scénario de la machine, car ne pas entrer dans une seule de ses cases peut déclencher une catastrophe en chaine que nul Bruce Willis du numérique ne pourra plus juguler.

Informatique partout, liberté nulle part

Pour en revenir à mon père, il est juste un pur incompétent numérique. Il est arrivé à grand-peine à dompter l’interface du Cube de Canal+, il a fini par se résigner à utiliser une carte bancaire — lui qui a passé toute sa vie à compter l’argent en briques —, mais c’est bien là le maximum d’effort qu’il veut bien concéder à la machine.

Et je le comprends. À son âge, il n’a plus rien à prouver et si ses capacités intellectuelles sont intactes, il n’a aucune culture numérique et le bond cognitif que cela représente est bien trop de fatigue pour un vieillard.

Mais voilà, la société numérique est totalitaire et ne lui laisse aucun choix, aucun espace, aucune dérogation. L’important, vous l’aurez bien compris, n’est pas tant de nous faciliter la vie, que d’économiser à tout prix sur la masse salariale, dégraisser tout, tout le temps et n’importe comment, comme si Skynet avait déjà pris le pouvoir.

En gros, la digitalisation de la vie quotidienne ne serait pas quelque chose de grave si elle n’était pas imposée à tous, au mépris le plus absolu de ceux qui n’ont pas accès à cette technologie, que ce soit par manque de moyens ou d’envies. C’est ainsi qu’est pourtant créée une nouvelle catégorie de sous-citoyens :

Les exclus numériques

Ça a commencé à la Poste, quand mon père n’a plus pu acheter de timbres : La dame au guichet m’a dit qu’elle ne pouvait plus m’en vendre, qu’il fallait aller à l’automate. Là, il y avait un jeune qui montrait comment ça marchait, je n’ai rien compris. Puis le jeune n’a plus été là. J’ai dû essayer tout seul, mais tu comprends, le temps que je lise tout, l’écran s’est effacé. Et même s’il n’y a personne qui attend au guichet, on refuse de m’en vendre normalement.

Je me demande si les cons qui ont pensé cette nouvelle procédure avaient assez de neurones pour imaginer la frustration et la détresse de ceux qui, soudainement, sont interdits d’accès à quelque chose dont ils ont besoin et dont ils savent qu’on pourrait assez facilement les satisfaire, comme avant.

Il y a 15 jours, sa ligne fixe a cessé de fonctionner. Contacter Orange pour obtenir un dépannage s’avère à présent être pire qu’un parcours du combattant y compris pour les gens très à l’aise avec le numérique comme moi. Pas de numéro direct, pas d’accès au SAV, des formulaires automatisés partout qui ne répondent à rien, ne renseignent en rien, des robots téléphoniques qui renvoient pendant des heures à d’autres robots téléphoniques… pour rien. Tout cela transpire la très mauvaise volonté et un réel désir de ne pas prendre en charge les problèmes. Cela m’a fait très rapidement pensé à La Maison qui rend fou.

https://youtu.be/c45FtDhdDoY

Toute cette technologie pour se retrouver exactement au même point qu’avant…

Mon père de 85 ans n’a toujours pas le téléphone et il n’y a pas l’ombre d’une solution en vue.

Je lui ai parlé de la possibilité de lui prendre un mobile chez Free. Bien sûr, pour s’abonner, il me faudrait faire les démarches en ligne, à sa place, sur mon compte, mais bon il lui suffirait de me faire un virement tous les mois pour l’abonnement et il n’aurait pas à s’en occuper.

  • C’est que tu vois, ma fille, je ne peux plus faire de virement.
  • Comment ça, je ne comprends pas ?
  • Depuis quelques temps, à la banque, les gens au guichet n’ont plus le droit d’exécuter de virements à ma place. Il faut que j’aille à l’automate dans le hall. Donc je fais des chèques…

D’ici deux ans, mon père devra déclarer ses impôts en ligne et ça l’angoisse déjà.

Je ne sais pas pour vous, mais franchement, je lui trouve une sale gueule au progrès, maintenant qu’il est en marche… inexorable et indifférent.

MONOLECTE

Avec l’autorisation de l’auteure

Article original ici

https://blog.monolecte.fr/2017/05/21/totalitarisme-numerique/

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24 mai 2017 3 24 /05 /mai /2017 12:04
 

Plaidoirie pour le verbe

 Il était une fois un pays étrange qui avait une vénération pour les mots, l’art oratoire, les poètes et les raconteurs d’histoire. Celui qui disposait de ce qu’on nomme, éloquence, était à peu près assuré de briller dans cette société où chacun aimait à écouter l’autre, fermer les yeux et se laisser bercer par la parole et les récits. Tout était prétexte à discussions enflammées, à palabres interminables ou bien à débats véhéments.

La grande particularité des habitants de cette contrée résidait dans leur capacité à écouter celui qui prenait la parole, à goûter ses phrases, à faire en sorte de s’imprégner de sa pensée. Ailleurs, les beaux parleurs ont la fâcheuse habitude de ne se soucier que de ce qu’ils disent, sans jamais accorder la plus petite importance à ce que profèrent les autres. Ici, il en allait tout autrement : les vrais tribuns, les orateurs de classe étaient tout autant des auditeurs attentifs et concentrés qu’ils aimaient à être des locuteurs enthousiastes et convaincants. Nous sommes bien loin de ce qui se passe dans notre étrange pays si bavard.

Parler et écouter ; il n’y avait aucune distinction entre ces deux versants d’une même activité, d’un art que l’éducation, tout autant que la tradition, avait élevé au rang de culture majeure de cette nation. L’écrit était subalterne : il permettait simplement de coucher sur le papier les beaux récits, ceux qui étaient nés dans l’enthousiasme d’une improvisation sublime. Tous les écrits trop travaillés, à la forme trop complexe, nés dans ce qu’on nomme, le style, ne trouvaient pas grâce à leurs oreilles. La langue devait être mélodieuse, mystérieuse ou drôle, coulant parfois comme une rivière tumultueuse, avant de prendre le temps de paresser un peu plus loin.

Le beau parleur était, avant tout, un bon parleur : celui qui est capable de moduler son discours, d’alterner les envolées lyriques et les temps de grande sensibilité, les éclats et les passages susurrés. La voix , en effet , doit être un instrument qui caresse, qui réveille, qui calme, qui surprend, qui entraîne,ou bien effraie l’auditoire. Elle gronde ou bien tonne, elle s’enroule dans les sentiments ou bien vrille les tripes ; elle donne la chair de poule avant que d’inonder de tendresse.

Pour devenir orateur, il fallait un long apprentissage, un délicat travail de forme, tout autant que de fond. Des concours d’éloquence, des joutes ou des querelles verbales pour les bretteurs, des exercices de virtuosité étaient le parcours obligé de celui qui voulait briller dans cette nation. Mais chacun savait, par-dessus tout, que seule une langue bien pendue, un discours peaufiné et enthousiaste pouvait vous tirer d’affaire si le hasard de l’existence vous conduisait à devoir jouer votre vie au bout d’un discours.

Dans ce pays, celui qui commettait un forfait devait se défendre seul. Les bavards patentés, les avocats aux effets de manche et à la sincérité douteuse étaient inconnus. Ici, c’est l’accusé qui plaidait en sa faveur. Un long discours, une plaidoirie, qui prenait la forme choisie par le mis en accusation, constituait le seul élément de décision.

Nul examen des faits, ni évocation des pièces à conviction ; seul le récit pouvait exonérer celui qui avait fauté. C’était devant un auditoire attentif que l’accusé prenait la parole pour inventer un conte, créer une épopée, fabriquer une aventure qui touche et émeuve, trouble et distraie. Mais gare à celui qui reprenait un récit déjà connu, empruntait une histoire issue de la grande tradition. Il fallait inventer, oser la nouveauté ou bien se reconnaître coupable.

Plus la faute était grave, plus l’enjeu du discours était capital. Certains jouaient leur tête sur ce qui était devenu le spectacle le plus prisé du pays. Qu’importe les fautes imputées, l’horreur du crime commis ! la langue pouvait laver l’horreur et le sang. Un beau récit, et le criminel qui réussissait à captiver son auditoire, à lui donner plaisir et émotion, était élargi sur le champ, sous les applaudissements de la foule.

Bien sûr, cette manière de rendre la justice peut laisser sans voix les hommes et les femmes de notre période si formelle. Pourtant, qu’est-ce qui permet de gagner un procès de nos jours, si ce n’est l’art oratoire et la science de la procédure dont se sont emparés les professionnels de la parole sans sincérité ? Ainsi, raconter de belles sornettes n’était pas une hérésie. Aujourd’hui, ce sont bien des plaidoiries sans couleur ni saveur qui font pencher le fléau de la balance.

J’aime assez cette idée que la seule défense qui vaille appartienne à l’accusé lui-même. Il y a bien plus de sincérité dans la création d’un conte que dans un discours politique. De cette évidence, il conviendrait de retourner à cette pratique d’un autre temps et de cesser de payer fort cher des gens qui ne parlent jamais par le cœur.

Oralement vôtre.

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21 mai 2017 7 21 /05 /mai /2017 07:18
1er vide grenier Gaulois!

Nos amis du 115 du Particulier qui mènent des actions de solidarité en direction des personnes précaires et en difficultés de toutes origines proposent ici un vide grenier à thème

 

 

A l’image des irréductibles gaulois, le Village du 115 Du Particulier fait de la « résistance » sociale pour survivre tout en gardant cet humour nécessaire à la bonne humeur.
Ce n’est pas parce que l’on vit dans l’exclusion et dans une vie « d’équilibriste » que la convivialité doit disparaître du quotidien des laissés pour compte…
C’est pourquoi Mécanix (Olivier), Jurassix (Stéphane), Distributix (Patrick) et les autres vous accueilleront le dimanche 21 mai 2017 pour leur premier Vide Grenier Gaulois !
La cervoise coulera à flots pour l’occasion, la saucisse crépitera sur la braise, le barde DJix nous saoulera avec ses flonflons…
Totomix fabriquera sur place son fameux boudin !
Franck Herpin, notre maître coutelier exposera ses meilleurs lames…
Thomas Léaud notre « photographix » couvrira nos murs avec ses plus beaux clichés !
Jeux gaulois !
Les emplacements sont gratuits !
Vide Grenier ouvert aux particuliers et aux associations.
Début des hostilités au chant du coq : 6 heures !
Sourire exigé !
Pour tout renseignement : 06 67 12 61 81

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19 mai 2017 5 19 /05 /mai /2017 21:50

LE CNAFAL EST MEMBRE DU CNAJEP

 

Communiqué de presse, 19 mai 2017

 

 

Au lendemain de l’annonce de la composition du nouveau gouvernement, nous nous étonnons que la Jeunesse n’ait pas été évoquée. Pour la première fois dans l’histoire de la Ve République, il n’y a pas à ce jour d’interlocuteur identifié au sein du gouvernement français.

Pourtant, dans une lettre ouverte à la jeunesse publiée dans l’entre-deux tours de l’élection présidentielle, le candidat Emmanuel Macron avait tenu, à montrer son engagement pour la jeunesse et sa volonté de donner aux jeunes les moyens de leur émancipation une fois élu. Nous nous interrogeons donc sur la mise en œuvre de cette ambition dans un gouvernement où la jeunesse n’apparait nulle part.

La prise en compte de la spécificité des situations des jeunes dans l’ensemble des grandes politiques publiques n’est pas une réalité concrète dans notre pays, et la jeunesse ne peut être noyée au milieu d’un ensemble de préoccupations.

Rappelons que 1,7 million de jeunes Français.e.s de 15 à 29 ans ne sont ni en emploi, ni en formation, ni scolarisé.e.s, que la part des 18-29 ans vivant sous le seuil de pauvreté est nettement plus élevée que parmi les autres tranches d’âge et que la France se situe dans la moyenne haute des pays européens en termes de taux de chômage chez les jeunes.

La plateforme « Pour un Big bang des politiques jeunesse » rassemble des associations, fédérations et mutuelles, mouvements de jeunesse et d’éducation populaire, organisations de jeunes et d’éducation populaire, organisations syndicales, structures d’insertion, d’hébergement d’accueil ou de santé, qui accueillent, accompagnent et travaillent auprès de millions de jeunes chaque année.

Ce collectif tient à rappeler qu’il est nécessaire d’avoir une politique publique cohérente et ambitieuse pour que CHAQUE JEUNE TROUVE SA PLACE DANS LA SOCIÉTÉ.

Nous interpellons donc le nouveau Président de la République et son gouvernement pour qu’ils donnent une place explicite aux politiques de jeunesse dans le nouveau projet de société qu’ils souhaitent bâtir pour les Françaises et les Français.

 

A l’initiative de :

Association Nationale des Conseils d'enfants et de jeunes (ANACEJ), ATD Quart monde, Comité pour les relations Nationales et internationales des Associations de Jeunesse et d’Education Populaire (CNAJEP), Confédération des Maisons des Jeunes et de la Culture de France (CMJCF), Fédération des acteurs de la solidarité, Forum Français de la Jeunesse (FFJ), Fondation Apprentis d’Auteuil, Union Nationale pour l’Habitat des Jeunes (UNHAJ), Union nationale de l'information jeunesse (UNIJ)

 

--

Cnajep - 12, rue Tolain -75020 Paris

Tél : 01 40 21 14 24 – Fax : 01 40 21 07 06

alexandra.thieyre@cnajep.asso.fr

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  • familles-laiques-de-vaux-le-penil.over-blog.com
  • C'est une association familiale laïque qui lie le combat social et le combat laïque
Son projet associatif s'inscrit dans le PAL ( prestation d'animation locale) et le PAL Vaux le Pénil est adhérent à la Fédération des Centres Sociaux 77
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AGENDA

 

 

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PROCHAINES PERMANENCES "INFO DETTE"

  à VAUX LE PÉNIL

 

 Vendredi 10 février 2023

 Vendredi 10 mars 2023

sur rendez-vous au 

09 75 38 81 13 

 

    Affiche surrendetement RVB    

 

Sinon, toute l'année,  il y a des permanences hebdomadaires à 

 Melun, Dammarie, Le Mée, St Fargeau-Ponthierry, Moissy Cramayel.....

Renseignez vous auprès de notre secrétariat !

Qui sommes nous ?

Association fondée sur le principe de la laïcité,

intervenant dans tous les domaines

 où l'intérêt des familles est concerné.

     logo rose afl

Animée uniquement par des bénévoles, l'association propose différentes actions telles que : Accompagnement scolaire, alphabétisation, info dettes, écoute et soutien des familles, écrivains publics, informatique, échanges de savoir-faire. 

 

Surtout n'hésitez pas à nous laisser des commentaires en utilisant le lien en dessous de chaque article De même, lisez les commentaires, ils vous en inspireront peut-être d'autres Notre PAL est subventionné par la Caisse d'Allocations Familiales 77 et le Conseil Régional d'Ile de France