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Familles Laïques de Vaux le Pénil 4, Place Beuve et Gantier 77000 VAUX LE PENIL
Téléphone : 09.75.38.81.13. Courriel : familleslaiques.vlp@orange.fr |
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Il ne faut pas confondre les projets d'action solidaire et les opérations marketing.
Ce qui s'est passé à Orléans et que dénonce notre ami Nabum est inqualifiable !
Pour oser, ils osent !
Pas de Relais pour cette imposture.
Je viens de me faire gruger et je suis encore sous le coup de la plus violente colère qui soit. J'ai sans doute manqué de vigilance, j'ai fait preuve d'une naïveté crasse, j'ai voulu jouer les bons esprits en manquant singulièrement de lucidité. Une belle annonce, pleine de bons sentiments et de belles intentions m'a poussé à me faire prendre au piège de la récupération la plus honteuse.
Nous vous proposons de participer à une action « repas partagé » à Orléans, le vendredi 15 mai à 12h30 devant la mairie d'Orléans. Le but est de donner une image accueillante de notre cité et de montrer que les Orléanais ont le sens du partage. Ce message universel doit parler au plus grand nombre et faire changer la décision du maire de baisser la subvention de l'association « Le Relais Orléanais » ... Cette action consistera à nous mettre dans l'espace public et à y partager un repas assis avec qui le voudra, tout en laissant une place au pauvre, à l'indigent, au voyageur, à ceux que le maire aimerait bien voir repartir loin d'Orléans. »
C'est du moins ce que j'avais cru lire car rien n'est pire que les illusions quand on est bourré de bons sentiments. À bien y regarder, après avoir été échaudé, le Relais de l'Orléanais, cette belle structure caritative en mal de subventions cette année, n'avait pas été explicitement évoqué. L'implicite est redoutablement manié par ceux qui furent à l'origine de cette imposture.
J'arrivai devant la mairie avec une beurrée de ma confection. Le plat régional me semblait parfaitement indiqué aux circonstances supposées. Du fromage blanc salé et des herbes aromatiques : le mets idéal pour les pauvres tels que les imagine notre bon président. Les « sans-dents » n'auraient eu aucune peine à déguster ce plat riche en calories et moi, j'aurais pu servir un petit couplet ironique sur ce choix assez curieux.
Je me suis cassé les dents ! De nécessiteux, il n'y en avait aucun autour de cette belle tablée bourgeoise et militante et je peux comprendre leur absence quand on les traite d'indigents. Le parti au pouvoir était à l'origine de cette opération qui n'avait d'autre but que de faire venir quelques gugusses de mon espèce afin de les prendre dans les rets de la manipulation et accessoirement des caméras, appareils photographiques et micros appelés en renfort pour chanter la gloire et l'énergie du joyeux organisateur : un jeune loup qui prétend avoir la banane ; un slogan simpliste réservé à ceux qui font de la politique comme ils pratiqueraient la promotion commerciale !
J'enrageais de m'être ainsi fait avoir quand un journaliste vint tendre un micro sous mon nez. Il représentait la radio locale qui voit la vie en bleue, radio qui, inutile de vous le rappeler, s'était refusée à passer le disque de mon petit groupe. Je l'envoyai balader : mon opinion ne devant pas intéresser un diffuseur qui méprise mes textes. Ça, au moins, c'était fait !
Je constatai que les bourgeois socialisants dégustaient avec amusement mon plat si exotique pour eux . Ils y prirent tellement plaisir que je ne récupérai pas dans l'aventure deux petites cuillères en argent que j'avais apportées. Je suis heureux de contribuer, modestement il est vrai, au renflouement des caisses de ce parti, bien mises à mal par les récentes catastrophes électorales.
Je restai debout, à distance de cette table de l'indignité en compagnie d'autres pigeons de mon espèce. Nulle envie de partage dans cette manifestation de l'entre-soi. Nulle place non plus pour les véritables gens de la rue, ceux que croisent véritablement mes amis des maraudeurs du jeudi. L'organisateur et ses amis ont beau se prétendre « tous SDF », leur revendication tombe à plat de manière indécente.
Si je ne peux remettre en doute leur supposée sincérité, ils oublient bien vite la lourde responsabilité du clan dont ils défendent les couleurs. Ce n'est pas parce que la ville n'est pas dirigée par leur cher parti qu'ils peuvent s'exonérer des trahisons récurrentes d'une sensibilité qui ne se soucie des plus humbles que lorsqu'elle va à la pêche aux voix. J'en étouffai de colère tandis que la honte n'étouffait pas ces gens qui sont disposés à toutes les contorsions idéologiques quand il s'agit de dénoncer leur voisin sans regarder leur parrain.
L'homme à la banane pérorait devait la caméra, faisant en sorte de mettre en arrière-plan le plus de personnes piégées par sa combine douteuse. Je jouais à cache-cache avec l'objectif, attendant un temps raisonnable avant de récupérer ma beurrée sans me montrer discourtois. L'envie était grande pourtant de hurler mon courroux à la face de ces gens si satisfaits d'eux-même. L'aventure m'avait coupé l'appétit et la dignité m'interdisait de manger la moindre chose venant de cette opération « marketing » (j'use exceptionnellement du langage qui est le leur).
Je rentrai, la gorge nouée et marri de m'être ainsi laissé berner par ce parti passé maître, il faut lui reconnaître ce talent, dans l'enfumage et le roulage dans la farine. J'exprimai sur les réseaux sociaux ma colère et l'on me répondit fort aimablement par des formules alambiquées, des propos dignes du catéchisme social qui est enseigné dans les officines à menteurs. La langue de bois me met hors de moi ; incapable de rivaliser dans cet art pompeux de ne rien dire, je décidai de déverser ma bile par ce billet parfaitement atrabilaire !
Bananement leur.
NABUM
Mettre côte à côte l’adjectif « familiales » et « collectives » semble être une clause de style du type Oxymore puisqu’un réunit deux mots en apparence contradictoires ….
A voir.
Le nombre de départ en séjours collectifs de mineurs diminue.
Cette désaffection regrettable s’explique : le coût de plus en plus élevé, les réserves ou peurs de parents à la lecture de titres de presse sur des incidents ou accidents…..
D’autres causes existent comme la demande des enfants de pouvoir avoir des activités sportives ciblées ….Les offres existent mais les prix s’enflamment….
Face à cette situation, des associations qui pensent à juste titre que les vacances sont des temps non résiduels et importants pour le développement de l’enfant ont décidé de mettre en vie des projets de vacances collectives familiales.
Il s’agit de faire partir des familles entières en réduisant au maximum les coûts.
Cette démarche permet aux parents de partir eux aussi mais de disposer de temps avec leurs enfants et des temps « libres » puisque des activités encadrées sont proposées aux mineurs.
Mais au fait, les vacances est-ce utile ?
Certains pensent que l’on peut s’en passer…..
D’autres comme Alain Serres, auteur jeunesse et créateur des éditions Rue du Monde, partenaire du Secours populaire a un regard qui me semble juste :
« LES VACANCES ? ça sert à grandir en deux mois d’été autant que pendant les dix autres mois de l’année. C’est presque aussi important que l’école. »
Le temps de vacances est un temps de respiration physique et intellectuelle qui permet de vivre à un autre rythme et de développer sa sensibilité et ses capacités dans un « cadre » non ou moins contraint.
Des associations familiales laïques organisent en partenariat avec l’ANCV (Agence Nationale des Chèques Vacances) des séjours accessibles et construits collectivement, les futurs vacanciers devenant les auteurs et acteurs de leurs projets.
Ce partenariat permet de rendre ce séjour accessible aux familles modestes et est construit avec les familles elles-mêmes.
Alors que les CAF limitent les aides aux familles ayant un quotient familial bas (souvent 555 €), alors souvent les mêmes familles ne peuvent disposer d’une aide qu’une année sur deux, le cadre des chèques vacances est moins contraint :
Le quotient de référence est nettement plus élevé et une même famille peut partir chaque année si elle le souhaite.
Voici là une action sociale et culturelle qui contribue à faire vivre à des familles entières des moments collectifs et individuels magiques.
Il ne s’agit pas non plus de faire de l’entre soi : les séjours sont annoncés et toute famille informée peut venir s’inscrire.
C’est ainsi que le CDAFAL 77 propose du 4 au 11 juillet 2015 un séjour complet à Préfailles en Loire Atlantique.
La loi DALO aurait pu constituer un vrai progrès.
Malheureusement le manque de moyens et parfois le manque de volonté politique de la part des pouvoirs publics et des Préfets de la République conduit à cette situation dépeinte dans le rapport très officiel du comité de suivi de la loi DALO .
Ce rapport n’hésite pas à dénoncer le "renoncement de certains
acteurs".
Alors que la loi DALO impose à l’Etat de trouver un logement social à toute personne qui n’est pas en mesure de se loger par ses propres moyens, près de 60 000 ménages prioritaires attendent encore, en vain un logement :
"Au 5 mars 2015, 59.502 ménages reconnus au titre du droit au logement
opposable restent à reloger, dont 44.013 en Ile de France » !?
Sur ces 59 052 ménages concernés, 51 069 n’ont pas pu être logés dans les délais impartis….
Pourtant ces délais sont larges puisque l’attente minimum est de six mois dans les textes.
Xavier Emmanuelli, président du comité de suivi ne pratique pas la langue de bois :
"En dehors du manque d'offres de logements aux loyers accessibles et de
l'application partielle de nombreux dispositifs, l'une des causes principales
constatée par le comité de suivi est une forme de renoncement de certains
acteurs, pouvant aller pour certains, jusqu'à développer des stratégies
d'évitements pour ne pas reloger de ménages prioritaires", a dénoncé dans le
rapport
Il y a quelques semaines la France a été condamnée par la Cour européenne des droits de
l'Homme pour n'avoir pas relogé une famille en application de la loi DALO !
C’est une première avancée
Ce rapport est intéressant et important, certes mais il faut qu’il ne reste pas « lettres mortes ».
Cette loi DALO doit être améliorée.
Plusieurs évolutions sont souhaitables :
Les séances de formation informatique de mai et juin 2015
sont consacrées à des thématiques précises( se reporter à l'affiche)
Si vous êtes intéressés, inscrivez vous au secrétariat
07 89 05 54 64
Comme toutes nos activités, elles sont gratuites
Il suffit d'être cotisant(e) à "Familles laïques" de Vaux-le-Pénil
rappel: La cotisation d'un montant de 12 EUR est familiale et annuelle
- familiale : pour une cotisation, tous les membres de la famille
ont accès aux ateliers et activités de l'association
- annuelle : de date à date
par exemple une cotisation réglée le 15 mai 2015 est à échéance un an après:
le 15 mai 2016
L'association Familles Laiques Vlp à organise Mercredi 29 avril une sortie accrobranches
Quel plaisir de voir les enfants heureux de se retrouver !
Quelle satisfaction de voir nos ados s’entraider et à l’écoute des uns et des autres !
Quelle joie de voir les jeunes tellement fiers d’avoir réussi à dépasser leurs angoisses !
Quelle belle journée !
A refaire......
Marie-Hélène, Fabien et Cindy
La défense des familles, de toutes les familles, notamment des plus vulnérables passe par la mobilisation solidaire des associations intervenant sur une même localité ou dans une même agglomération.
Depuis novembre 2014, un réseau solidaire est constitué sur Melun, il a commencé par se doter d’un numéro de téléphone commun accessible à tous.
Il s’agit de rendre opérationnelle une « plateforme téléphonique « vivante.
La famille qui appelle est écoutée par une personne qui l’oriente vers le bon interlocuteur : une association familiale, un groupement caritatif, la Ligue des Droits de l’Homme ou Amnesty International…..
Depuis janvier 2015, des associations, membres de ce réseau local de solidarité ont mis en œuvre
un projet original : l’ouverture d’un réseau solidaire à 1 €.
Familles laïques de Vaux-le-Pénil, le Sentier et Pain d’Espoir, ont été à l’origine de l’initiative et très vite d’autres associations ont participé à l’aventure comme le Secours populaire français, le DAL 77 et le Secours catholique.
Notre prochaine étape consiste, entre autres à ouvrir un local commun sur l’agglomération de Melun.
Nous avons une piste sérieuse et nous tenons une réunion du réseau
Lundi 4 mai 2015 à 20 Heures à Familles laïques de Vaux-le-Pénil
Le repas citoyen à 1 € du mercredi 29 avril 2015
Bonjour,
Comme c’était les vacances nous avons fait participer les enfants à la préparation du repas.
Pour une première, c’était réussi.
Nous remercions Ines et Ketura pour leur participation. Elles ont été accompagnées par nos bénévoles : Françoise, Meryam et Natasha.
Le plat principal était composé de pizzas.
Les enfants et les bénévoles ont préparé la pâte pour 25 personnes environ.
Une expérience à refaire avec grand plaisir.
L'ambiance était au rendez-vous.
Carinne
Bonjour,
Vous avez peut être reçu un mail ce matin aux alentours de 2h30 / 3h vous demandant une "Réponse Urgente" de la part de familleslaiques.vlp{at}orange.fr.
N'Y REPONDEZ SURTOUT PAS
Notre adresse mail a été piratée et vos réponses sont transférées vers une autre adresse.
Nous devrions reprendre le contrôle d'ici Mardi.
En attendant vous pouvez nous contacter au 09 75 38 81 13
Merci de votre compréhension.
L'équipe de Familles Laïques de Vaux le Pénil
-oOo-
PROCHAINES PERMANENCES "INFO DETTE"
à VAUX LE PÉNIL
Vendredi 11 octobre 2024
Vendredi 08 novembre 2024
sur rendez-vous au
09 75 38 81 13
Sinon, toute l'année, il y a des permanences hebdomadaires à
Melun, Dammarie, Le Mée, St Fargeau-Ponthierry, Moissy Cramayel.....
Renseignez vous auprès de notre secrétariat !
Association fondée sur le principe de la laïcité,
intervenant dans tous les domaines
où l'intérêt des familles est concerné.
Animée uniquement par des bénévoles, l'association propose différentes actions telles que : Accompagnement scolaire, alphabétisation, info dettes, écoute et soutien des familles, écrivains publics, informatique, échanges de savoir-faire.
Surtout n'hésitez pas à nous laisser des commentaires en utilisant le lien en dessous de chaque article De même, lisez les commentaires, ils vous en inspireront peut-être d'autres Notre PAL est subventionné par la Caisse d'Allocations Familiales 77 et le Conseil Régional d'Ile de France