Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
25 avril 2011 1 25 /04 /avril /2011 07:33


  maif.jpg

   

ONFÉRENCE-DÉBAT

 Roger Belot, président-directeur général de la MAIF, et l'équipe militante de votre délégation  ont le plaisir de vous inviter à une conférence de Henri Pena-Ruiz, agrégé de l'université, 
  docteur en philosophie et écrivain, maître de conférences à l'IEP de Paris et professeur en khâgne,  
 ancien membre de la commission Stasi sur la laïcité. 

Vendredi 29 avril 2011 à 18h30

  Cinéma La Grange

La Ferme des Jeux

Rue Ambroise Pro

VAUX LE PENIL

  PROGRAMME Vivre : la liberté, le risque, la solidarité. Les malentendus de 1'ultralibéralisme. Les principes fondateurs de la solidarité. Le livre d'Henri Pena-Ruiz, La solidarité, une urgence de toujours, 
  dont est issu ce cycle de conférences sur la solidarité, vous sera proposé  
 au tarif de 5 euros. Le produit de la vente et des droits acquis par la MAIF seront reversés à l'association Solidarité Laïque, au profit des sinistrés d'Haïti. Parce que,  encore une fois, en matière de solidarité, la réflexion ne va pas sans l'action. inscription sur: www.maif.fr/actionsmutualistes La solidarité n'est pas un luxe !  Les solidarités ont été consolidées dans le cadre du pacte républicain forgé  
 pendant la résistance et concrétisé dans le cadre du programme  
  du Conseil National de la Résistance.  Aujourd'hui, ceux qui détiennent les principaux leviers veulent tout privatiser et laisser place  
 à la « concurrence libre et non faussée ».  Comme l'explique le philosophe Pena-Ruiz  
 « Dans une telle perspective, toutes les solidarités construites au niveau de la puissance publique  
 sont mises à mal, et ce malgré une rhétorique moralisante qui continue à se référer à la solidarité  
 mais à la bonne volonté caritative. C'est alors une insolidarité multiforme qui déchire le tissu social »  Face à cette situation et aux conséquences qui en découlent, il faut à la fois construire 
  de nouvelles solidarités de résistance, défendre les services publics existants et en développer 
  de nouveaux.  « La solidarité  une urgence de toujours »  livre d'Henri Pena-Ruiz  éditions Agora éducation  186 pages  Pour une république solidaire, sociale et laïque !  Ce livre écrit dans le cadre d'un partenariat avec la MAIF précise le sens d'un certain nombre  
 de « valeurs » comme la laïcité, la solidarité et la culture.  Henri Pena Ruiz prête sa plume experte à tout un travail de clarification et de mise en perspective.  Avec beaucoup de force et d'arguments, l'auteur s'en prend à l'idéologie de l'ultralibéralisme  
 qui veut que l'individu assume seul les conséquences des aléas de sa vie, qu'il soit aux commandes  
 ou qu'il soit une victime.  L'ultralibéralisme préfère l'assistance individuelle à la solidarité organisée , ce qui n'empêche pas 
  les tenants de la disparition des services publics à solliciter une aide de la part de l'Etat  
 quand leurs intérêts sont en jeu.  « L'économie capitaliste mondialisée est donc une économie assistée » : 
  des milliards de subventions publiques ont permis à des banques de se redresser  
 et tous les ans des entreprises sont aidées par les collectivités publiques sans aucune contre partie... 
 Les premières continueront à spéculer et les deuxièmes à licencier même si leurs profits augmentent !  Côté cour ils exigent moins d'Etat et côté jardin ils demandent que l'Etat leur vienne en aide...  
 cherchez l'erreur !  C'est quoi la solidarité ?  Il ne s'agit pas de faire dans la bienfaisance charitable mais de développer une solidarité militante 
  « qui par ses implications s'attaque aux causes de la détresse et ne se contente plus 
  d'en soulager les effets ».  Les injustices réelles qui sont à l'origine de la pauvreté d'une famille doivent être dénoncées  
 et combattues.  Lorsqu'une famille en grande difficulté est menacée d'expulsion, l'association de solidarité  
 ne va pas seulement apporter l'aide d'urgence immédiate. Elle s'opposera à l'expulsion .  La loi DALO n'est pas sortie magiquement du chapeau d'un législateur humaniste,  
 elle est le fruit du combat mené par plusieurs associations de solidarité et aujourd'hui 
  il y a encore beaucoup à faire pour :  
  • simplifier et accélérer les procédures

  • mettre fin aux expulsions

  • contraindre les villes à appliquer la loi imposant 20% de logements sociaux.

 L'auteur consacre une partie de son ouvrage à présenter l'action de l'économie sociale dite solidaire  
 qui ne doit pas servir de caution à l'abandon des principes universels des services publics.  Ces services publics malmenés, menacés de disparition doivent être défendus  
 comme doit être défendu et préservé la laïcité de l'école et la séparation des églises et de l'Etat.  Dans le cadre de cette réflexion, Henri Pena Ruiz explique que si la société est composite,  
 voire « multiculturelle » comme disent certains,  
 « la République, quant à elle, n'est ni multiculturelle, ni multiculturaliste, 
  car ses fondements juridiques sont ceux de l'égalité des droits et non de la différence des droits. »  Ce livre apporte des repères solides et très utiles à toutes celles et à tous ceux  
 qui agissent pour promouvoir la solidarité à tous les niveaux et qui par là-même défendent  
 le maintien et l'extension du service public.  Jean-François Chalot  



 

Partager cet article
Repost0
20 avril 2011 3 20 /04 /avril /2011 09:11

 

La République française honore la mémoire des victimes de la déportation, en particulier des déportés de France dans les camps de concentration ou d'extermination nazis.

Depuis l'adoption de la loi du 14 avril 1954, le dernier dimanche d'avril est consacré "Journée nationale du souvenir des victimes et des héros de la déportation".

Il existe des romans accessibles comme celui de Gilbert Bordes qui montrent concrètement les souffrances endurées par les enfants et expliquent comment s'est organisée la résistance à tous les niveaux...

Tous n'étaient pas des grands héros mais beaucoup ont montré un grand courage et comme l'a écrit Corneille « Aux âmes bien nées, la valeur n'attend point le nombre des années » !

 

 

« Les enfants de l'hiver »

roman de Gilbert Bordes51obVVR3TML__SS500_.jpg

X0 Éditions

287 pages

Février 2011



Un périple « fantastique »



Ils ne se connaissaient pas. Les uns étaient chrétiens, les autres juifs...Tout les séparait : l'origine sociale, la culture, l'éducation....

La guerre et la fuite devant les SS les ont réunis dans les Pyrénées entre la France de l'Espagne.

Certains sont des jeunes enfants, d'autres des adolescents qui peu à peu vont être capables de survivre dans des conditions plus que précaires. Il leur faut à la fois trouver les résistants qui les protègeront et à la fois se maintenir en vie, ici et maintenant. Il leur faut quérir de quoi se nourrir en plein hiver:

« Survivre ne demande aucune qualité particulière, seulement l'obstination de l'insecte au corps écrasé qui agite encore ses pattes pour échapper à l'outil du jardinier. Il n'y a rien d'autre à faire: marcher jusqu'à l'ultime battement de cœur »...

Chaque enfant va relever dans l'adversité et face au danger qui le menace sa vraie nature et aussi des capacités dont il ignorait ou sous-estimait l'existence.

L'histoire racontée est émouvante et touchante. L'auteur sait accrocher son lecteur et l'entraîner dans une histoire humaine « fantastique » avec un vrai suspens.

C'est un roman qui montre comment des êtres fragiles, en phase de construction peuvent passer de l' individualisme qui frise l'égoïsme à la solidarité.

Ce sont des enfants qui peu à peu se forgent une conviction d'adulte : « Être homme, c'est se battre jusqu'à l'extrême limite, c'est supporter la douleur et ne jamais renoncer ».

Ce roman est beau et fort.

Jean-François Chalot

Partager cet article
Repost0
15 avril 2011 5 15 /04 /avril /2011 09:56

 

Frédéric Lefebvre, secrétaire d’État au commerce et à la consommation sort un gadget médiatique qu'il nomme le« panier des essentiels ».

L'Institut national de la Consommation présente clairement et sans faux semblants l'opération :

« ll s’agit d’une sélection de dix articles dont au moins un dans chacune des six catégories suivantes : fruits, légumes,thumbnailCAU49X3D.jpg viandes, poissons, fromages ou produits laitiers, boissons. Le tout pour moins de 20 €. Charge aux enseignes de distribution partenaires de l’opération (Carrefour, Géant-Casino, Auchan, Match, Monoprix, E. Leclerc, Cora, Système U et Intermarché) de le garnir à leur guise et de le faire évoluer semaine après semaine. »

« Pour le secrétaire d’État, pas question que ce panier soit une démarche « conjoncturelle » – et encore moins un « panier du pauvre ». Frédéric Lefebvre a l’ambition de faire découvrir des produits de qualité à un prix attractif. Carrefour a ouvert la danse avec un panier à 18,98 € permettant de confectionner trois repas pour quatre personnes. Casino a embrayé le pas avec une sélection à 18,84 €. Les autres enseignes doivent suivre d’ici à la fin du mois. Une chose est sûre : on n’y trouvera pas les mêmes produits, et les prix varieront au gré des enseignes… et des saisons. »

Les enseignes n'étant pas obligées de regrouper dans un même espace les produits venant du panier de l'essentiel, il faudra que le consommateur se repère en cherchant la bonne étiquette.

« l’Union fédérale des consommateurs (UFC-Que choisir) affiche son « amère déception ». Et qualifie l’opération de « gadget », assénant : « Ce panier est essentiel…lement au service de la grande distribution et de la communication gouvernementale. »

C'est effectivement un gadget grossier qui est présenté comme une mesure révolutionnaire et applaudie par quelques agents publicitaires agissant pour les grands distributeurs.

La valse des étiquettes se poursuit avec une augmentation de 15 à 20% des pâtes, jusqu'à 20% pour le café et près de 8% pour le beurre.

Les produits de base, essentiels pourtant ne sont pas compris dans le panier de l'essentiel.

De qui se moque le gouvernement, si ce n'est des familles qui n'arrivent pas à joindre les deux bouts et qui sont les victimes d'une politique incapable de bloquer les prix des denrées alimentaires les plus courantes et les plus indispensables.

Cette opération publicitaire est une arnaque car le pouvoir n'agit que de quelques produits dont la qualité n'est même pas garantie.

«  Le site de 60 Millions de consommateurs note ainsi la présence dans le panier d’Intermarché de douze bâtonnets de surimi en guise de poisson. Cela n’enfreint pourtant pas les directives gouvernementales. Car le cahier des charges est minimaliste : des fruits ou légumes de saison et des produits d’origine contrôlée pour les aliments transformés. »

Les associations de consommateurs et les associations familiales ont raison de critiquer l'opération, voire même de dénoncer son caractère de poudre aux yeux.

Il faut que le blocage des prix soit effectif sur au moins une centaine de produits alimentaires divers dont la liste devrait être établie dans le cadre d'une concertation avec les associations elles mêmes.

Les grands distributeurs font assez de bénéfices et une telle mesure ne remettrait absolument pas en danger l'économie, bien au contraire

Jean-François Chalot

Partager cet article
Repost0
14 avril 2011 4 14 /04 /avril /2011 07:29

LE CNAFAL PERSISTE ET SIGNE DANS SA REVENDICATION

A REGLEMENTER LES PRIX DES CARBURANTS

 

 

Depuis début mars le prix des carburants ne cesse d’augmenter. Mais, jusqu’où allons-nous ?

Lors d’un premier communiqué de presse, nous avions été les seuls à revendiquer la règlementation des prix à la pompe, solution
rapide et simple à mettre en oeuvre.

L’article L 410-2 al 3 du code de commerce permet au Gouvernement par Décret en Conseil d’Etat et après avis du Conseil National
de la Consommation, de règlementer les prix dans un secteur déterminé, notamment en cas de hausse excessive de prix dans les
carburants pendant une période inférieure à six mois.

Depuis cette date et à ce jour, aucune solution pertinente n’a été trouvée !

Les prix des carburants continuent de s’envoler, et atteignent aujourd’hui des sommets historiques. Le 12 avril le Président de
Total n’hésitait pas à affirmer que le prix du sans plomb 95 pourrait atteindre 2 euros !

Mais que fait le Gouvernement ?

Entendra-t-il un conseiller de l’Elysée qui déclare : « il faut mettre ce qu’il faut dans les rouages pour que les ménages ne soient
pas désespérés ».

Il réfléchit, il négocie avec les distributeurs et les pétroliers notamment Total, (entreprise du CAC 40 qui affiche des profits
indécents et ne paye aucun impôt). De fait, plus les prix grimpent, plus leur marge est conséquente.

Pendant ce temps, pêle-mêle, fleurissent comme au printemps, des solutions compliquées et inégalitaires pour l’ensemble des
consommateurs, alors pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué !!!

. Pendant ce temps la spéculation va bon train alors que l’approvisionnement en pétrole ne pose aucun problème.
. Pendant ce temps les ménages et les acteurs économiques peinent à boucler leur budget.
. Pendant ce temps par nécessité, les automobilistes utilisent leur véhicule pour se déplacer et travailler.
. Pendant ce temps la hausse du prix des transports se répercute sur le panier du consommateur et le pouvoir d’achat des
français fond comme neige au soleil.


 

C’est pourquoi :

Le CNAFAL persiste et signe pour que l’Etat règlemente temporairement les prix des carburants en utilisant la Loi, rien que la Loi.

 

Claude Rico - Responsable Secteur Consommation Claude Jahier - Secrétaire Générale

06 72 50 63 68 06 80 82 72 94

Partager cet article
Repost0
12 avril 2011 2 12 /04 /avril /2011 12:54

Communiqué de presse

du CNAFAL

 

 

NON TRANSCRIPTION A L ETAT CIVIL : LE CNAFAL CONSTERNE

 

Le CNAFAL est consterné par la décision de la Cour de cassation qui vient de refuser l’inscription à l’état civil français de Léa et d’Isa Menesson nées aux Etats -Unis d’une mère de substitution.

 

Depuis plus de 10 ans, Mr et Mme Menesson se battent afin que leurs deux filles obtiennent la nationalité française.

 

Récemment, le ministère public s’était prononcé favorablement  pour cette transcription, faisant naître un grand espoir auprès de leurs parents.

Or, aujourd’hui, la Cour de cassation vient de juger contraire à l’ordre public international français, la décision étrangère qui comporte des dispositions heurtant des principes  essentiels du droit français.

 

Le Cnafal qui apporte son soutien  à ce couple depuis plusieurs années ne comprend pas ce revirement de position.

 

Alors qu’un certain nombre de pays ont adopté le principe de la gestation pour autrui, la France non seulement la réfute, mais  refuse également de reconnaître la nationalité française aux enfants nés de cette pratique.

 

A l’heure où 61% de nos concitoyens se disent favorables à la gestation pour autrui, la Cour de cassation évoque là une décision qui serait contraire à l’ordre public international.

 

La dissociation sexualité et parenté, la valorisation de l’enfant ont fait naitre chez les femmes et les hommes un désir d’enfant, qui compte tenu de la diversité des formes familiales, semble irréversible.

 

Il serait donc temps de prendre en compte tous ces éléments, afin d’imaginer un encadrement juridique et éthique de ces pratiques et ne pas laisser la seule parole aux lobbyings conservateurs.

 

Le Cnafal demande à ce que ces deux enfants et tous les autres enfants nés de cette pratique puissent bénéficier d’une même égalité d’accès aux droits que les autres.

Marie-Odile Pellé Printanier
Vice-présidente du CNAFAL

 

 

Partager cet article
Repost0
12 avril 2011 2 12 /04 /avril /2011 12:41

 

Vous trouvrez ci-dessous un document émanant de la CAF 77

Ce texte présente  les différents modes d'accueil

 

 45.jpg

 

L’accueil petite enfance

 

I/ Définition des modes d’accueil

 

L’accueil collectif

 

  • Multi-accueil :

 

  • Il peut associer:

  • un accueil collectif régulier et occasionnel

  • un accueil collectif et familial

 

  • Capacité : 60 places maximum en accueil collectif

100 places maximum en collectif + familial

 

 

  • crèche collective :

 

  • Accueil régulier collectif à temps complet (4 à 5 jours par semaine)

  • Capacité : 60 places maximum

 

 

  • crèche parentale :

 

Établissement d’accueil collectif géré par une association de parents.

La crèche parentale privilégie, au sein d’un petit groupe, l’éveil de l’enfant tout en favorisant l’implication des parents qui participent parfois à l’accueil des enfants.

 

 

  • Crèche familiale

 

Cette structure est gérée par une collectivité territoriale, une association, une entreprise, …

La direction est assurée par une puéricultrice, un médecin ou une éducatrice de jeunes enfants.

La crèche emploie des assistantes maternelles agréées qui accueillent à leur domicile de un à quatre enfants. Celles-ci font l’objet d’un encadrement et d’un accompagnement professionnel assuré par le personnel de la crèche.

Une ou deux fois par semaine, les assistantes maternelles et les enfants se retrouvent dans les locaux de la crèche familiale. Des temps de regroupement collectif favorisant la socialisation et l’éveil des enfants sont proposés.

L'assistante maternelle est rémunérée par le gestionnaire de la crèche.

 

  • Halte-garderie

 

  • Enfants de moins de 6 ans6863695881492729dessin-bebe-marche-gif-gif.gif

 

 

  • Accueil collectif occasionnel :

- 1 journée

- 1 à 2 demi-journées par semaine

- quelques heures

 

  • micro-crèche :

 

  • Les micro-crèches, après expérimentation, bénéficient du statut d’établissement d’accueil d’enfants de moins de 6 ans.

 

  • Capacité d’accueil simultané maximale : 10 enfants.

 

  • Les micro-crèches sont dispensées de l’obligation de désigner un directeur mais sont tenues de nommer un référent technique chargé :

- d’assurer le suivi technique de l’établissement ainsi que l’élaboration et le suivi de la mise en œuvre du projet d’accueil,

- d’accompagner et de coordonner l’activité des personnes encadrant les enfants.

 

Toutefois, lorsque plusieurs micro-crèches sont gérées par une même personne et que la capacité totale de ces établissements est supérieure à 20 places, celle-ci est tenue de désigner un directeur.

 

  • Financement

- financement indirect via le Cmg « structure » versé directement aux familles

OU

- financement direct via la prestation de service (Psu et Psej)

 

 

  • jardin d’éveil

 

  • Le jardin d'éveil accueille des enfants de 2 à 3 ans avant l’entrée à l’école maternelle.

 

  • Capacité : unités de 12 places minimum. La capacité d’accueil minimale recommandée est de 24 places sur la base d’unités de 12 places. Si le jardin d'éveil comporte 12 places seulement, il pourra être nécessaire de l’adosser à une structure petite enfance existante qui pourra être sur un autre site, sous réserve qu’elle se trouve à une distance raisonnable.

 

 

L’accueil individuel

 

 

  • Les assistants maternels

 

  • Agrément délivré par le Président du Conseil général pour une durée de 5 ans, renouvelable.

  • Un agrément pour 4 enfants au maximum sauf dérogation.

 

  • Maison d’assistantes maternelles

 

  • Les maisons d’assistants maternels regroupent dans un seul local, hors du domicile, un maximum de 4 assistants maternels. Chacun des assistants peut prendre en charge un maximum de 4 enfants.

Chaque parent peut autoriser l’assistant maternel qui accueille son enfant à déléguer cet accueil à un ou plusieurs assistants maternels exerçant dans la même maison.

La délégation d’accueil nécessite un accord écrit de l’assistant à qui la garde est déléguée. Celui-ci ne pourra pas accueillir un nombre d’enfants supérieur à celui prévu par son agrément.

 

Les RAM

 

L'agrément est délivré par les caisses d'allocations familiales.

 

Le RAM est un lieu de rencontre et d’échanges pour les assistants maternels, les enfants et les parents.

Il accompagne des familles dans la recherche d’information et soutient des professionnels dans leur activité.

 

II/ Bilan de l’accueil collectif en Seine-et-Marne en 2009-2010 

 

Nombre de places en établissement d’accueil du jeune enfant

 

 

 

 

2009

2010

nombre de places créées

454

152

nombre de places supprimées

203

71

Total nombre de places

7 867

7 948

 

 

 

Partager cet article
Repost0
8 avril 2011 5 08 /04 /avril /2011 07:03

 

Hamiliton 

Ceux qui viennent d'ailleurs....

 

Ils viennent de tous les coins du monde, ils arrivent un beau matin dans un pays dont ils ignorent souvent la langue . Leurs familles et amis sont loin, très loin, il leur faut tout reconstruire et tisser du lien social.

Certains fuient la misère, d'autres sont des réfugiés politiques et presque tous sont déracinés.

Dans l' association Familles Laïques de Vaux le Pénil , nous organisons des cours de français et nos bénévoles grandissent avec les « apprenants » dans le cadre des échanges que nous organisons.

Ensemble nous « brisons » les frontières pour essayer de nous connaître.

2010-alfaflyer.jpg

J'ai été particulièrement étonné par la soif des gens venus d'ailleurs d'apprendre la langue et les usages. Si au début, les personnes que nous accueillons sont un peu perdus, voire désemparés car ils se retrouvent seuls ici dans un nouveau pays, ils finissent par reprendre espoir et se construire des projets.

La découverte et la lecture du livre d'Hugo Hamilton permet de faire le lien entre notre propre expérience et ce qui se passe dans ce récit de la vie d'un homme « venu d'ailleurs »

 

 

« Je ne suis pas d'ici »

d'Hugo Hamilton

Editions Phébus

domaine étranger

277 pages

20 €

mars 2011

 

 

Le pire n'est pas inscrit dans le marbre

 

C'est une roman avec intrigue qui nous entraîne dans le sillage d'un jeune Serbe de Belgrade qui arrive, mu du rêve irlandais ou plutôt de l'envie de se reconstruire loin de ce pays ravagé

par la guerre civile.

Le lecteur fait connaissance de la vie difficile, de solitaire, de déraciné de celui qui cherche à s'intégrer et à devenir un parmi d'autres, reconnu, accepté, voire aimé...

Il est un peu naïf, plein de bonté ce Vid Cosic et sa liaison amicale avec un avocat est loin d'un fleuve tranquille.

Il est socialement et personnellement utile comme charpentier talentueux et comme ami fidèle mais il reste quelqu'un de là-bas et pas d'ici.

Toutes les déconvenues ne viennent pas inéluctablement de l'autre, de celui qui puise ses racines à Dublin:

« Quand vous venez d'ailleurs, vous développez tous ces préjugés selon lesquels les gens de ce pays seraient supérieurs, plus drôles, plus doués avec la langue et les plaisanteries »....

 

Quand l'idée « négative » de soi rencontre le regard de rejet de celui qui est enraciné dans le pays « d'accueil », rien n'est possible...Le pire peut arriver à moins que la volonté et la recherche de la reconnaissance permettent de sortir de la spirale infernale de l'exclusion.

Vid Cosic va essayer de se « faire adopter » par ce peuple...La marche est longue d'autant plus qu'il se se trouve plongé dans un secret de famille et in schisme familial qu'il ne comprend pas.

Mais rien n'est inscrit dans le marbre et il arrive parfois que la volonté et l'esprit solidaire abattent les murailles de l'incompréhension.

 

Ce livre traduit de l'anglais (Irlande) avec soin par Bruno Boudard renoue avec les descriptions minutieuses et vivantes de lieux.

Il nous donne même l'envie d'aller voir ce pays , hier d'émigration, aujourd'hui d'immigration

qui entre dans la modernité après avoir connu l'obscurantisme religieux et « culturel ».

 

Jean-François Chalot

 

Partager cet article
Repost0
6 avril 2011 3 06 /04 /avril /2011 15:49

Voici quelques documents qui méritent votre attention....

Les oeufs ne se ressemblent pas tant que cela...

il en a des meilleurs que d'autres dans le cadre d'un élevage où les poules sont élevées correctement

 

Image1.jpg

 

 

Image3.jpg

 

 

Image4.jpg

Partager cet article
Repost0
4 avril 2011 1 04 /04 /avril /2011 11:06

 

Le CDAFAL met en place sur l'agglomération une permanence 'consommation" gratuite le premier jeudi de chaque mois.

1ère permanence le JEUDI 7 AVRIL

                                  de 10H à MIDI

                                   Salle Jean XXII à Melun

 

 

 

!cid 76FD66C015764F6392CA194A9EC1A8A3@nomeb85c523610

Partager cet article
Repost0
2 avril 2011 6 02 /04 /avril /2011 08:09

 

La Solidarité,
une urgence de toujours

Organisée par la MAIF, une conférence sur ce sujet dont vous trouverez le détail ci-dessous.

Notre association familiale laïque a décidé de relayer cette information et faire en sorte qu'un maximum de gens puissent profiter de ce moment qui promet d'être très intéressant et riche d'information et d'enseignements.

Si vous souhaitez y assister, il est utile de vous inscrire,

par notre intermèdiaire avant le lundi 25 avril 2011 : familleslaiques.vlp@orange.fr

soit directement auprès de la MAIF à cette adresse : www.mail.fr/actionsmutualistes

Merci à Geneviève LAGRANGE, militante et déléguée mandataire  de la MAIF 77 de nous avoir informer de cette manifestation qui, nous le souhaitons, rencontrera un franc succès.

Patrice THEVENY, Président de Familles Laïques de Vaux le Pénil

 

La Solidarité, une urgence de toujours est une conférence gratuite que donnera le professeur et essayiste français, agrégé de philosophie, Henri PENA-RUIZ, (http://atheisme.free.fr/Biographies/Pena-ruiz.htm )

LE VENDREDI 29 AVRIL 2011 à 18h30

Cinéma "La Grange" de la Ferme des jeux

Rue  Ambroise PRO

77000 VAUX LE PENIL

L'idée que tous les hommes sont engagés dans la même aventure n'est pas nouvelle. La notion même d'Humanité intègre la référence à une condition humaine commune, un destin à partager. Chacun est responsable de tous et tous de chacun.

Les hommes sont solidaires, ou doivent l'être, dès qu'ils s'avisent du fait que toute situation est provisoire, et ne saurait donner lieu à un repli égoïste, exclusif des autres.

Être solidaire de l'autre, c'est le traiter comme un autre soi-même, lui conférer l'égalité de principe qui fait que l'on reconnaît dans toute situation de détresse une réalité réversible, qu'il convient de défataliser.

 

PROGRAMME

  • Vivre : la liberté, le risque, la solidarité
  • Les malentendus et l'ultra libéralisme
  • Les principes fondateurs de la solidarité
Partager cet article
Repost0

  • familles-laiques-de-vaux-le-penil.over-blog.com
  • C'est une association familiale laïque qui lie le combat social et le combat laïque
Son projet associatif s'inscrit dans le PAL ( prestation d'animation locale) et le PAL Vaux le Pénil est adhérent à la Fédération des Centres Sociaux 77
  • C'est une association familiale laïque qui lie le combat social et le combat laïque Son projet associatif s'inscrit dans le PAL ( prestation d'animation locale) et le PAL Vaux le Pénil est adhérent à la Fédération des Centres Sociaux 77

AGENDA

 

 

  -oOo-

 

PROCHAINES PERMANENCES "INFO DETTE"

  à VAUX LE PÉNIL

 

 Vendredi 11 octobre 2024

 Vendredi 08 novembre 2024

sur rendez-vous au 

09 75 38 81 13 

 

    Affiche surrendetement RVB    

 

Sinon, toute l'année,  il y a des permanences hebdomadaires à 

 Melun, Dammarie, Le Mée, St Fargeau-Ponthierry, Moissy Cramayel.....

Renseignez vous auprès de notre secrétariat !

Qui sommes nous ?

Association fondée sur le principe de la laïcité,

intervenant dans tous les domaines

 où l'intérêt des familles est concerné.

     logo rose afl

Animée uniquement par des bénévoles, l'association propose différentes actions telles que : Accompagnement scolaire, alphabétisation, info dettes, écoute et soutien des familles, écrivains publics, informatique, échanges de savoir-faire. 

 

Surtout n'hésitez pas à nous laisser des commentaires en utilisant le lien en dessous de chaque article De même, lisez les commentaires, ils vous en inspireront peut-être d'autres Notre PAL est subventionné par la Caisse d'Allocations Familiales 77 et le Conseil Régional d'Ile de France