Samedi 28 janvier, la conférence des présidents des CDAFAL s’est tenue à Paris.
C’est un espace annuel de débats et d’échanges permettant de faire le point sur des dossiers importants.
Nous avons discuté du développement avec la création de nouvelles associations départementales et du secteur santé et les conséquences de notre nouvel agrément avec notre entrée en tant que mouvement dans les différents conseils d’usagers.
La journée a été dense, très dense et les présidents des CDAFAL ont nourri notre réflexion sur la question du revenu social garanti.
Cette question qui a donné lieu à des échanges musclés entre les différents candidats aux élections présidentielles, a été soulevée il y a 30 ans par le CNAFAL, partisan de la création de ce revenu garanti.
Nous sommes heureux qu’aujourd’hui cette problématique soit légitimement d’une actualité brûlante.
Au CNAFAL nous avons débattu.
Si tout le monde est pour ce revenu social garanti, les modalités de son attribution et les financements ont été discutés.
Nous allons reprendre à la fois les textes qui ont été écrits par le mouvement et à la fois les actualiser Il y a clairement deux niveaux à articuler : la revendication immédiate qui consiste à demander qu’aucune personne n’ait un revenu au- dessous du seuil actuel de pauvreté et la construction d’un dossier solide sur le revenu social garanti.